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Aide à l'indexation des inventaires de Me Pierre Poutrain (1562 à 1574)

Demandes d’aide pour la lecture ou la transcription de textes anciens rédigés en français uniquement, grâce à l'entraide entre les utilisateurs de Geneanet.
nchantelou
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Bonjour à tous,

De nouvelles liasses d'inventaires sont soumises à la lecture et à l'analyse sagace du forum "Paléographie" : Inventaires de Me Pierre Poutrain (1562 à 1574)

Il s'agit de faire une analyse sommaire de liasses d'inventaires après décès de Paris, qui seront ensuite indexées sur Geneanet avec une copie aux Archives Nationales. Pour gagner du temps, le numéro de chaque première page est indiqué.

Toute personne intéressée par le projet ou simplement par cet exercice de paléographie est évidemment la bienvenue pour donner un coup de main !

Merci d'avance de votre collaboration !

nicole

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=44526
Inventaires de Pierre Poutrain - AN ET-LXXXVI-99 (1562-1566)

2 B
80 JD
434 JD

465 Ch
468 Ch

472 JD

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=43811
Inventaires de Pierre Poutrain - AN ET-LXXXVI-100 (1563-1564)

1 JD
23 Ch
49 Ch

70 Ch
79 Ch

101 JD
156 JD

165 Ch
234 Ch

240 B
345 Ch
382 Ch

442 JD
467 JD


http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=43468
Inventaires de Pierre Poutrain - AN ET-LXXXVI-101 (1565-1570)

1 Ch
28 Ch
33 JD
50 JD

79 B
82 JD
87 JD
97
115
125
129
165
172
175
247
250
300
308
324
339
351
355
365

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=43469
Inventaires de Pierre Poutrain - AN ET-LXXXVI-102 (1571)

1
6
61
64
67
77
135
151
184

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=43470
Inventaires de Pierre Poutrain - AN ET-LXXXVI-103 (1573-1574)

1
46
56
100
174
210
215
228
249
276
288
294
305
315
373
376
444
518
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Ça démarre fort, avec Me Poutrain : acte de 350 vues, avec une première déchirée et floue...

[99 – 80] 1566 – Inventaire dressé après le décès de (feu noble homme) Antoine BOHIER, chevalier, (baron de) Saint-Cirgues (63320 Saint-Cirgues-sur-Couze), conseiller du Roi en son privé conseil, à la requête de Me Louis Debonnaire, procureur de Thomas (cf. vue 82) BOHIER, évêque de Saint-Malo, héritier du défunt, honorable homme Me Gilles Lecoigneulx, procureur en parlement, au nom et comme procureur de Monsieur le comte de VILARS et de noble homme et sage Monsieur Maître René BAILLET, conseiller du Roi, président en sa cour de parlement et conseiller en son privé conseil, comme exécuteur testamentaire du défunt, assisté d’Antoine Grouillonnet, procureurs de dame Anne DE PONCHER, veuve dudit défunt, en son nom, et noble et discrète personne Me Toussaint Barrin, sieur de Vincelles, abbé de Saint-Romain de Blaye, noble et discrète personne Me Pierre Le Rouillé, seigneur de Genitoy (77600 Bussy-Saint-Georges), abbé d’Hérivaux (95270 Luzarches), au nom et comme procureur de très haut et très puissant seigneur monseigneur Anne, duc de MONTMORENCY, pair et connétable de France, en qualité de donataire dudit défunt des terres et seigneurie de Saint-Cirgues, et autres assises au pays d’Auvergne, et encore à cause de dame Madeleine DE SAVOIE, son épouse, légataires du défunt.
(vue 100) cote 2 : 1522 – partage fait entre dlle Charlotte DE PONCHER, veuve de noble homme Me Geoffroy DELACROIX, trésorier des guerres du Roi, lesdits défunt et veuve et révérend père en Dieu Me Étienne DE PONCHER archevêque de Sens, Messire Pierre LEGENDRE, chevalier sire d’Hallencourt, trésorier de France et noble homme Jean DE PONCHER, seigneur de Limours, conseiller du Roi, trésorier des guerres, en son nom et comme tuteur de dlle Marie DE PONCHER mineure, lesdites damoiselles filles de feu Messire Louis DE PONCHER, chevalier, seigneur de Mancy et trésorier de France et de dame Robine LEGENDRE.

S’ensuivent 1546 titres dont se régaleront les historiens de la famille Bohier, déjà bien étudiée...

[99 – 434] 29 mars 1563 (n. st.) – Inventaire dressé après le décès d’honorable homme Roullequin DE NOYON, marchand bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Marie DE PASSAVANT, tant en son nom que comme son exécutrice testamentaire et comme tutrice et curatrice de leurs enfants mineurs Raouland, Jean, Pierre, François, Jeanne, Marguerite et Madeleine DE NOYON et du posthume dont elle est enceinte, de Pierre PRESTECELLE, marchand bourgeois de Paris et Marie DE NOYON sa femme, fille desdits défunt et veuve, en leurs noms, à cause d’elle, et encore ledit PRESTECELLE au nom et comme subrogé desdits mineurs et posthume, lesdits Marie DE NOYON et mineurs habiles à se dire, porter et nommer héritiers d’icelui défunt.
Les biens étant en un hôtel assis rue des Lombards, joignant (la maison à l’enseigne du) Poids-du-Roi, et en autres lieux.
(vue 455) cote 49 : 1548 – lettre obligataire ; ledit défunt Roullequin DE NOYON, tuteur de son frère, héritiers de feu sire François DE NOYON leur père.
(vue 463) cote OO : 1539 – contrat de mariage entre lesdits Roullequin DE NOYON et Marie DE PASSAVANT ; Jean DE PASSAVANT et Madeleine LE DOYEN père et mère de l’épouse.
(vue 463) cote PP : 1559 – contrat de mariage entre lesdits Pierre PRESTECELLE et Marie DE NOYON.

Bonne journée et à bientôt.
JD
cdemaz
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Bonjour à tous,

voici mes analyses :

[99–465] Le vendredi 5 février 1563 (n.s.). Inventaire avant mariage, à la requête de Jeanne MORIN, veuve de Jean LEDRU, compagnon barbier, demeurant à Paris. Le décès du mari survenu depuis 4 ans sont ou environ après 6 ans de maladie. Ladite veuve a depuis contracté mariage avec Guillaume AULMONT, compagnon tondeur de draps à Paris, à présent son fiancé. Contrat de mariage du 4 février 1563 (n.s.). Les biens étant en une chambre au premier étage d’une maison sise à Paris, rue de Beaubourg, où pend pour enseigne l’Image Notre-Dame.

Les actes ont été mis dans le désordre : petit retour en arrière de près d’un an.

[99–468] Le lundi 25 mai 1562. Inventaire après le décès de Catherine BERTHELOT. A la requête de Jean JACQUELIN, maître savetier, demeurant à Paris, en son nom et comme exécuteur du testament de la défunte jadis sa femme, et comme tuteur et curateur de Robert JACQUELIN, leur fils mineur, seul héritier et pour le tout de la défunte sa mère. Et en la présence de Robert JACQUELIN, aussi maître savetier demeurant à Paris, subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en une chambre et bouge au troisième étage d’une maison sise rue de la Petite Truanderie, où ledit Jean JACQUELIN fait sa demeure.
(vue 471) cote A : 1556 (n.s.) - Contrat de mariage Jean JACQUELIN x Catherine BERTHELOT.

A plus tard
Je réserve les 23 et 49 de la prochaine liasse STP, Merci.

Christophe.
cdemaz
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Bonjour à tous,

une autre paire :

[100–23] Le jeudi 3 juin 1563 . Inventaire après le décès de Marguerite ALLEAULME. A la requête de son mari, honorable homme Jean LEBERT, marchand bonnetier bourgeois de Paris, en son nom et comme exécuteur du testament de la défunte, et aussi comme tuteur et curateur de Catherine LEBERT, leur fille mineure, seule héritière de sa mère. Et en la présence de honorable homme Guillaume GODIERE, aussi marchand bonnetier, bourgeois de Paris, subrogé tuteur de la mineure. Les biens étant en un hôtel sis à Paris, rue de la Planche-Mibray (au) bout du pont Notre-Dame, où pend pour enseigne les Deux Hercules, où ledit LEBERT est demeurant et où la défunte est décédée.

Le suivant n'a pas beaucoup d'intérêt généalogique, mais peut en avoir sur le plan historique, et de l'histoire de l'art.

[100–49] Le 20 juillet 1563 . Inventaire au château du Louvre, après le décès de messire Charles de PIERREVIVE, chevalier seigneur de Lésigny, conseiller et maître d’hôtel ordinaire du Roi. Par le commandement du Roi à honorable homme sire Claude MARCEL, essayeur général des monnaies dudit seigneur, et par lui commis à la garde de ses vaisselles et autres meubles d’or et d’argent. En présence de messire Arthus DE COSSÉ, seigneur de Gonnor, chevalier de l’ordre, capitaine de 50 hommes d’armes, conseiller du Roi en son conseil privé et superintendant de ses finances, maîtres René BAILLET, aussi conseiller du Roi et président en sa cour de Parlement et Jean LUILLIER, seigneur de Boullencourt, aussi conseiller du Roi et Président en sa chambre des comptes à Paris. Les biens étant en une chambre par bas appelée la chambre du trésor, joignant la tour faisant l’une des encoignures dudit château vers la rivière de Seine et du côté de l’hôtel de Bourbon, montrés par noble et discrète personne abbé d’Yverneaulx, au nom et comme exécuteur du testament dudit Charles de PIERREVIVE, qui avait eu la garde et charge des vaisselles d’or et d’argent du Roi, et à la décharge des veuve et héritiers dudit défunt. (récolement de l’inventaire du 16 janvier 1536). En fin, renouvellement de la garde du buffet et vaisselle d’or et d’argent audit Claude MARCEL, daté du 26 juillet 1570.

Je réserve les deux suivants. Merci.
Christophe.
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Voici deux pièces :

[99 – 473] 2 juillet 1562 – Inventaire dressé après le décès d’honorable femme Michelle HAC, à la requête de son veuf honorable homme Pierre DE CAEN, marchand et bourgeois de Paris, en son nom et comme exécuteur testamentaire de la défunte, auparavant femme de feu Claude HEBERT, aussi marchand et bourgeois de Paris, Jean LE BRUN le jeune, aussi marchand et bourgeois de Paris, Jeanne HEBERT sa femme, François LE BEGUE, pareillement marchand et bourgeois de Paris, Catherine HEBERT sa femme, en leurs noms, à cause de leurs femmes, et encore lesdits LE BRUN et LE BEGUE au nom et comme tuteurs et curateurs de Guillaume et Michel HEBERT, mineurs, lesdits Claude, Catherine, Guillaume et Michel HEBERT enfants desdits défunts HEBERT et HAC et héritiers seuls et pour le tout de leur mère, et en la présence d’honorable homme André HAC, marchand drapier et bourgeois de Paris, au nom et comme subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant en un hôtel sis rue Saint-Denis, où est pour enseigne la Rose-Rouge
(vue 554) cote A : 1558 – contrat de mariage entre lesdits Pierre DE CAEN et Michelle HAC. Ledit DE CAEN veuf de Marie PATROULLART sa première femme.
(vue 556) cote B : 1558 – inventaire après le décès de ladite Marie PATROULLART.
(vue 556) cote C : 1558 – inventaire après le décès dudit Pierre DE CAEN.
(vue 557) cote D : 1558 – contrat de mariage entre lesdits François LE BEGUE et Catherine HEBERT.
(vue 557) cote E : 1559 – contrat de mariage entre Claude DE BENIGNE et Claude DE CAEN, fille desdits Pierre DE CAEN et Marie PATROULLART.
(vue 557) cote F : 1562 – contrat de mariage entre Julien ROYER et Isabeau DE CAEN, fille desdits Pierre DE CAEN et Marie PATROULLART.
(vue 568) cote CC : 1558 – contrat de mariage entre lesdits Jean LE BRUN et Jeanne HEBERT.
(vue 568) cote GG : 1549 – partage entre Nicolas HAC, Pierre HAC, André HAC, Jeanne HAC, femme d’Innocent LE FEBVRE et ladite Michelle HAC, des biens de feu Me Étienne HAC leur frère.
(vue 569) cote HH : 1543 – partage entre lesdits Nicolas HAC, Pierre HAC, André HAC, Jeanne HAC, ladite Michelle HAC, et ledit Étienne HAC, frères et sœurs, des biens de feus André HAC l’aîné et Catherine DANETZ jadis sa femme.
(vue 574) 1562 – dette dudit Pierre DE CAEN à la veuve de feu Nicolas DE CAEN son frère, demeurant à Beauvais.

[100 – 1] 21 avril 1563 – Inventaire dressé après le décès de feue Marguerite BYDAULT, veuve de feu Pierre DOUBLET, maître chandelier en suif à Paris, à la requête d’honorable homme Guillaume ALLYER, aussi maître chandelier en suif à Paris, demeurant ès faubourg de Paris, hors la porte Saint-Jacques, tant en son nom, à cause de Jeanne DOUBLET sa femme, que comme exécuteur testamentaire de la défunte, et aussi à la requête de Jean DOUBLET, Henry DOUBLET, aussi maîtres chandeliers en suif à Paris, en leurs noms, et encore ledit ALLYER au nom et comme tuteur et curateur de Giraud et Isabeau DOUBLET, mineurs, et en la présence dudit Jean DOUBLET, tuteur subrogé desdits mineurs, et en la présence de Michel BYDAULT, marchand p… demeurant à Paris, au nom et comme curateur ordonné par justice dudit Henry DOUBLET, lesdits Jeanne, Jean, Henry, Giraud et Isabeau DOUBLET, enfants et héritiers desdits défunts Pierre DOUBLE et Marguerite BYDAULT.
(vue 21) cote L : 1553 – contrat de mariage entre lesdits Guillaume ALLYER, demeurant au bout du pont Saint-Michel, et Jeanne DOUBLET.

Je me demandais comment ils "numérotaient" après ZZ ; quelqu'un a déjà vu des AAA ? Heureusement qu'on n'a pas fait comme ça pour les plaques d'immatriculation...

Bonne soirée à tous.
JD
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jdp1 ha scritto: 17 giugno 2021, 18:43 Je me demandais comment ils "numérotaient" après ZZ ; quelqu'un a déjà vu des AAA ?
Oui, moi, et il n’y a pas longtemps. C'était chez maître Trouvé, à la liasse 99, vue 225, il y a bien une cote AAA suivie de la cote BBB. Etc.

Mais il y a deux cotes .. et .. que je n'ai pas réussi à identifier après les cotes xx, yy, zz de la vue 223 et avant la cote aaa.

A noter que dans ton acte Poutrain, la cote zz (vue 572) est immédiatement suivie de la cote aaa (vue 573).

Nous noterons également la suite ss tt vv xx yy zz, avec l'absence des lettres uu et ww.

Christophe
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Bonjour à chacun,

en voici deux autres :

[100–70] Le mardi 13 juillet 1563 . Inventaire après le décès de Nicolas ROUSSEL, maître tondeur de draps à Paris. A la requête de Jeanne BOUTET, sa veuve, en son nom. Et aussi à la requête de Nicolas ROUSSEL le jeune, fils du défunt, aussi en son nom, et de Jean PATE, tailleur d’habits demeurant à Paris, en son nom à cause de Catherine ROUSSEL sa femme. Lesdits Nicolas ROUSSEL le jeune et Catherine ROUSSEL, frère et sœur, enfants dudit défunt et de ladite BOUTET, et seuls héritiers de leur père. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Ferronnerie, où le défunt est décédé depuis 6 mois en ça, et où ladite veuve est demeurant, montrés par la veuve et par ledit ROUSSEL et Geneviève ODOUART, sa femme.

[100–79] Le lundi 26 juillet 1563 . Inventaire après le décès de Geneviève BARBETTE. A la requête de son mari, honorable homme Guillaume LEBRUN, juré vendeur de vins à Paris, en son nom et comme exécuteur du testament de la défunte jadis sa femme, auparavant femme de feu Quentin JONART (ou JOUART), briseur(boiseur?) de sel et compteur juré de foin à Paris. (Aussi à la requête) de Pierre de VILLENEUFVE, juré mouleur de bois à Paris et Marguerite JONART sa femme, à cause d’elle, aussi dudit LEBRUN au nom et comme tuteur et curateur de Marie JONART, mineur. Lesdits Marguerite et Marie JONART, sœurs, filles desdits défunts Quentin JONART et Geneviève BARBETTE, et encore ledit LEBRUN, au nom et comme tuteur et curateur de Oudart et Jeanne LEBRUN, frère et sœur, enfants mineurs de lui et de la défunte. Et en la présence de honorable homme Jacques BARBETTE, juré mouleur de bois à Paris, oncle maternel, subrogé tuteur de tous lesdits mineurs. Les biens étant en un hôtel sis à Paris, rue Simon-le-Franc, où ledit LEBRUN est demeurant, et où la défunte est décédée.
(vue 99) cote B : 1548 – Inventaire après le décès Quentin JOUART.
(vue 99) cote C : 1550 – Contrat de mariage Guillaume LEBRUN x Geneviève BARBETTE, alors veuve de Quentin JOUART.
(vue 99) cote D : 1562 – Contrat de mariage Pierre de VILLENEUFVE x Marguerite JOUART.

A plus tard
Christophe.
bertrandg
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Le 2 est arrivé-é-éé, sans s'presser-er-er...

[99-2] 15 février 1563 [n.s] - Inventaire à sa requête de noble homme maître François BRICONNE, sieur de Leneville et Launay, conseiller du Roi et sa Cour de parlement à Paris, en la présence de Maître Antoine Vigier, praticien demeurant à Paris, procureur de noble demoiselle Marie LE CYRIER, veuve de feu noble Pierre FRAGUIER, conseiller du Roi conseiller du Roi et maître ordinaire de sa chambre des comptes à Paris. Inventaire des biens, ... et titres trouvés en un hôtel à Paris, rue des Fossés Saint-Germain.
(vue 47) cote 17 : 14 mars 1538 - vente à nobles messire Guillaume BRICONNET, archidiacre de Reims, chanoine de Chartres (?), Maître Jean BRICONNET, sieur de Glatigny, ledit Maître François BRICONNET, tant en leur nom que faisant et portés forts de nobles Maître Claude BRICONNET, leur frère, chanoine d'Orléans
(vue 48) cote 19 : 17 avril 1550 - obligation en faveur dudit Maître François BRICONNET, fils de feu noble Guillaume BRICONNET, sieur de Glatigny.
Ledit BRICONNET a déclaré des rentes... de Marie BRICONNET, sa fille religieuse à Passy... de feue demoiselle Antoinette BOUCHER, sa femme...

Nota, à la vue 56, la numérotation de titres passe de ZZ à AAA puis de poursuit...

Merci JD d'avoir noté que le 2 est un 3 !

Bonne journée

Bertrand
Ultima modifica di bertrandg il 21 giugno 2021, 11:13, modificato 1 volta in totale.
cdemaz
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Bonjour à tous,

continuant lesdites analyses :

[100–165] Le lundi 16 août 1563. Inventaire après le décès de honorable homme Noël LESCELLIER/LESELLIER, marchand et bourgeois de Paris. A la requête de honorable femme Jeanne FRAULDE, sa veuve, en son nom et comme exécutrice du testament du défunt, et encore comme tutrice de Noël LESCELLIER, leur fils mineur, seul héritier du défunt son père. Et en la présence de André de SAINT-YON, marchand et bourgeois de Paris, subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en un hôtel sis à Paris, Grande rue Saint-Denis, où pend pour enseigne l’Image Saint-Julien de Vauvente (?), devant et à l’opposé de l’église et hôpital Madame Sainte-Catherine, et faisant l’un des coins de la rue de l’Escuellerie (l’Aiguillerie) allant au cloître Sainte-Opportune, où il faisait sa demeure et où il est décédé.
(vue 169) En la chambre au second étage ayant vue sur la rue Ferronnerie […]
(vue 171) En une petite chambre ayant vue sur le petit cloître Sainte-Opportune […]
(vue 208) cote A : 1558 – Contrat de mariage Noël LESELLIER x Jeanne FRAULDE.
(vue 209) cote B : 1558 – Partage entre ledit Noël LESELLIER d’une part, et Geneviève JOBERT, veuve de Jean LESELLIER, marchand de draps de laine, bourgeois de Paris, fille et héritière seule et pour le tout de feue honorable femme Marie GARUOT/GARNOT sa mère, femme en secondes noces dudit Noël (sic) LESELLIER.
(vue 212) Cote F : 1558 – Honorable homme Jean FRAULDE, marchand drapier bourgeois de Paris vend une rente audit Noël LESELLIER.
(vue 225) Cote TTT : 1559 – Claude Le Sueur condamné à payer 20 livres 16 sols 8 deniers de rente audit Noël LESELLIER et Jeanne FRAULDE alors sa femme, auparavant veuve dudit Pierre MAILLART. Ledit LESELLIER comme tuteur des enfants mineurs dudit défunt MAILLART et de ladite veuve.
(vue 229) cote KKKK : 1563 – Bail de ladite Jeanne FRAULDE, veuve dudit Noël LESELLIER, tant en son nom que comme tutrice et curatrice dudit Noël LE SELLIER, fille (sic. lire fils) mineur dudit défunt et d’elle.
(vue 230) cote MMMM : 1558 – Tuition des enfants mineurs de feu Pierre MAILLART, marchand et bourgeois de Paris et de ladite Jeanne FRAULDE jadis sa femme et alors femme dudit Noël LE SCELLIER. Ledit LESCELLIER accepte la charge de tuteur. 1558 : Inventaire après le décès de Pierre MAILLART.
Jeanne MAILLART, fille dudit Pierre MAILLART et de ladite Jeanne FRAULDE.
(vue 230) cote NNNN : 1555 – Partage entre ledit Pierre MAILLART, ladite Jeanne FRAULDE, alors sa femme, et autres cohéritiers de feuz Geoffroy FRAULDE et Marie MOREAU jadis sa femme. Il leur échoit le troisième des quatre lots (la moitié d’une maison sise rue de la Tonnellerie, joignant la maison de la Hure de Sanglier, vulgairement appelée la maison des Colombes(?))
(vue 230) cote OOOO : 1563 – Germain LESELLIER condamné à se désister de la détention et occupation d’une maison à Colombes.

Cote OOOO : qui dit mieux ? :D
soffice.bin_AmdD6nhyM2.png
[100–234] Le mardi 9 novembre 1563. Inventaire après le décès survenu depuis 15 jours en ça, de Marie JUBYN/JUBIN, veuve de Macé LEVIEL, lieutenant du guet de nuit de la ville de Paris. A la requête de honorable homme Pierre GERVAIS, marchand et bourgeois de Paris au nom et comme exécuteur du testament de la défunte, et à la conservation des enfants desdits défunts. Les biens étant en une chambre et bouge joignant au premier étage d’une maison sise à Paris, rue Saint-Martin, où pend pour enseigne la Rose rouge, en laquelle la défunte est décédée, montrés par Marie de LYVRE(?), veuve de René GARROT, cousine dudit Macé LEVIEL.

A plus tard
Christophe.
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cdemaz ha scritto: 19 giugno 2021, 09:17 Cote OOOO : qui dit mieux ? :D
Je n'ai que du DDDD :roll:

[100 – 101] 9 août 1563 – Inventaire dressé après le décès d’honorable homme Me Étienne COURTIN, procureur en la cour de parlement à Paris, à la requête de sa veuve honorable personnes Marie DE NOYON, en son nom et comme exécutrice testamentaire du défunt, de Me Nicolas BERGERON, avocat en ladite cour, Marguerite COURTIN sa femme, en leurs noms, à cause d’elle, et encore ladite veuve tutrice et curatrice de leurs enfants mineurs Armand, Germain, Charles, Nicolas, Pierre et François COURTIN, lesdits Marguerite COURTIN et mineurs enfants desdits défunt et veuve et héritiers seuls et pour le tout de leur père, et en présence de noble homme Me François SEVYN, conseiller du Roi en sa cour des aides à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant en un hôtel assis rue Troussevache.
(vue 154) cote CCCC : 1534 – contrat de mariage entre lesdits Me Étienne COURTIN et Marie DE NOYON.
(vue 154) cote DDDD : 1561 – contrat de mariage entre lesdits Nicolas BERGERON et Marguerite COURTIN.

[100 – 156] 13 août 1563 – Inventaire dressé après le décès de feu François CHOART, marchand et bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve Hélène DE LA BISTRATTE, et en la présence d’honorable homme Rémy DE PLENORE, marchand bourgeois de Paris, curateur créé par justice à la personne et biens de ladite veuve, et aussi en la présence d’honorable homme Guillaume CHOART, marchand bourgeois de Paris, héritier quant aux biens meubles et conquêts immeubles dudit défunt son fils.
Les biens étant en une maison assise rue Saint-Honoré.
(vue 161) cote A : 1561 – contrat de mariage entre lesdits François CHOART et Hélène DE LA BISTRATTE ; Hélène DE PLENORE, veuve de feu Jacques PYNEL, tante de ladite Hélène DE LA BISTRATTE.

Bonne journée à tous.
JD
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Bon dimanche à tous,

avant d'aller voter, j'ai ceci :

[100–345] Le mercredi premier décembre 1563. Inventaire après le décès de Marie LE PEUPLE, auparavant veuve en premières noces de Jean REGNIER, et en secondes noces de Jean AUBERY, marchand et bourgeois de Paris. A la requête de honorable hommes Guillaume LE BRUN, son mari, juré vendeur de vins, bourgeois de Paris, en son nom, et de Guillaume REGNIER, maître charpentier et bourgeois de Paris, habile à se dire, porter et nommer héritiers de la défunte sa mère. Et en la présence de Jean AUBERY, fils dudit Jean AUBERY et de feue Jeanne BLONDEL jadis sa femme, et aussi en la présence de honorable homme maître Charles Bourdereau, commissaire examinateur. Les biens étant en un hôtel sis à Paris, rue Simon-Lefranc, où ledit LE BRUN fait sa demeure, et où la défunte est décédée, montrés par ledit LE BRUN et Guillaume REGNIER, fils de la défunte, Marie JOUART, fille de feu Quentin JOUART et de feue Geneviève BARBETTE, jadis sa femme, et depuis femme dudit LE BRUN.
(vue 368) cote 4 : 1563 – Pierre LE BRUN, marchand poissonnier demeurant à Aulneau en Beauce (28700 Auneau-Bleury-Saint-Symphorien), doit 30 livre audit Guillaume LE BRUN, son frère (ou son fils?).
(vue 373) cote A : 1563 – Contrat de mariage Guillaume LE BRUN x Marie LE PEUPLE. Jacques LE PEUPLE, frère de ladite Marie LE PEUPLE.
(vue 374) cote B : 1548 (?) - Partage des héritages et biens de feu Guillaume LE PEUPLE. Ladite Marie LEPEUPLE, femme de Jean REGNIER, fille et héritière pour un septième du défunt Guillaume LE PEUPLE.
(vue 378) cote M : 1548 – Inventaire après le décès de de Quentin JOUART, jadis mari de Geneviève BARBETTE, première femme dudit LE BRUN.
(vue 378) cote N : 1563 – Inventaire après le décès de Geneviève BARBETTE, jadis femme dudit LE BRUN.
(vue 378) cote O : 1550 – Inventaire après le décès de Jean REGNIER, premier mari de ladite Marie LE PEUPLE.
(vue 378) cote P : 1560 – Inventaire après le décès de Jean AUBRY, jadis mari de ladite Marie LE PEUPLE.
(vue 378) cote Q : 1550 – Inventaire après le décès de Jeanne BLONDET, jadis femme dudit AUBERY.
(Vue 378) Il est dû par Marie LESPICIER, belle-sœur dudit Guillaume LE BRUN, veuve de Nicolas BARBETTE, la somme de 20 livres.
(vue 379) cote R : 1562 – Contrat de mariage Pierre de VILLENEUFVE, juré mouleur de bois à Paris x Marguerite JOUART, fille de ladite Geneviève BARBETTE, jadis femme dudit LE BRUN, et de feu Quentin JOUART, son premier mari.

Les familles recomposées ne sont pas que de notre époque !

[100–382] Le samedi 11 décembre 1563. Inventaire après le décès de Catherine GERVAIS. A la requête de honorables personnes Germain LE SCELLIER, son mari, marchand et bourgeois de Paris, en son nom et comme exécuteur du testament de la défunte jadis sa femme, auparavant femme de feu Raoullet de BANVILLE, marchand et bourgeois de Paris. De Jean de BANVILLE, maître cordonnier à Paris, demeurant de présent en la ville de Meaux. Aussi ledit LESELLIER, au nom et comme tuteur et curateur de Abel de BANVILLE, mineur, et en l’absence de Philippe de BANVILLE, maître cordonnier à Paris, et Louis de BANVILLE, mesureur de sel à Paris, subrogé tuteur dudit mineur. Lesdits Jean, Philippe et Abel de BANVILLE, frères, enfants desdits défunts Raoullet de BANVILLE et Catherine GERVAIS, jadis sa femme. Les biens étant en un hôtel sis à Paris, rue des Lavandières, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, où pend pour enseigne …
Lui, vient de l’Ouest parisien (Actes à Méry-sur-Oise, Pontoise, Achères, Maisons, etc.), et elle vient de la Brie (actes à Brie-Comte-Robert, Brunoy-en-Brie, etc.)
(vue 430) cote FFF : 1546 – Partage entre ladite Catherine GERVAIS, alors veuve de Rollet de BANVILLE d’une part et les tuteurs des enfants mineurs dudit Rollet de BANVILLE et de Girarde GUYNET sa première femme.
(vue 431) cote GGG : 1546 (1547 n.st.) – Partage entre Germain LE SELLIER et Catherine GERVAIS sa femme d’une part et Philippe de JOIGNES et Jean LESAIGE, tuteurs et curateurs des enfants mineurs dudit Raoullet de BANVILLE et Girarde GUINET, et encore comme tuteurs et curateurs des enfants mineurs dudit Raoullet de BANVILLE et de ladite Catherine GERVAIS.
(vue 435) cote CCCC : Quittance de Philippe GERVAIS, veuve de Jean BACHELIER, à Germain LE SELLIER et Claude GERVAIS, son frère, de la somme de 100 livres, de ce qui pouvait lui appartenir de la succession de Jean GERVAIS son père.

A plus tard
Christophe.
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Toujours en 1563 :

[100 – 442] 9 mars 1564 [n. s.] – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Jean DANYS / DANIS, marchand teinturier en toile, fils et soie à Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Marie DU HAURON, son exécutrice testamentaire, et tutrice et curatrice de leur fils mineur Louis DANYS, héritier seul du défunt, et en la présence d’honorable homme Jean BARYNET, marchand drapier chaussettier bourgeois de Paris, tuteur subrogé dudit mineur.
Les biens étant en un hôtel assis à Paris, rue des Lombards, où pend pour enseigne le Croissant.
(vue 466) n. c. : 1544 – contrat de mariage entre lesdits Jean DANYS et Marie DU HAURON.

[100 – 467] 25 février 1564 [n. s.] – Inventaire dressé après le décès de Pierre BELLISSANT / BALLISSANT, maître tailleur d’habits à Paris, à la requête de sa veuve Philippe DAULTIN, exécutrice testamentaire du défunt, et encore Richard REMON, maître tailleur d’habits à Paris, accordé et futur époux de ladite veuve, tuteur et curateur de Guillemette et Pierre BELLISSANT, enfants mineurs desdits défunt et veuve, et de Jean BRUNEL, maître pâtissier à Paris, comme tuteur subrogé desdits mineurs.
Les biens étant en un hôtel assis à Paris, rue de la Cordonnerie, où pend pour enseigne l’Image-Saint-Paul.
(vue 471) Guillemette BALISSAN, veuve de feu Jean DAULTIN, maître tailleur d’habits à Paris, mère de ladite veuve Philippe DAULTIN.
(vue 471) n. c. : 1558 – contrat de mariage entre lesdits Pierre BELLISSANT et Philippe DAULTIN ; Me Pierre DELALANDE, oncle dudit défunt Pierre BELLISSANT.

Bonne journée à tous.
JD
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bertrandg ha scritto: 18 giugno 2021, 14:01 Le 2 est arrivé-é-éé, sans s'presser-er-er...

[99-2] 15 février 1562
Oui, mais le 2... est un 3 [n. s.], Bertrand (moi aussi, j'avais oublié) :
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Bonne journée.
JD
bertrandg
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Bonjour,

pour aujourd'hui, nous avons :

[100-240] 1er décembre 1563 - Inventaire après le décès de noble homme maître Jean LESCALOPPIER, receveur et payeur des gages et droits de notre Sire en la cour de parlement de Paris, à la requête de honorable femme Jacqueline MEGISSIER, sa veuve et noble homme maître Nicolas LESCALOPPIER aussi receveur et payeur des gages et droits de notre Sire en ladite Cour, en son nom et comme tuteur de Pierre LESCALOPPIER, mineur d'ans. Lesdits Nicolas et Pierre, enfants du défunt et de feue Marie LERMITTE jadis sa femme en secondes noces. En la présence de honorable homme Mathurin DE BEAUSSE, marchand et bourgeois de Paris, subrogé tuteur du mineur. Inventaire fait en l'hostel du défunt, grande rue Saint-Denis, où pend pour enseigne Les deux Cygnes.
(vue 298) cote A : 24 avril 1554 - contrat de mariage dudit Maître Nicolas LESCALOPPIER, fils de Maître Jean et de feue Marie LHERMITE, avec Denise SCOPART, sa femme.
cote B : 13 juin 1562 - contrat de mariage dudit défunt Maître Jean LESCALOPPIER avec Jacqueline MEGISSIER.
(vue 300) cote C : 13 février 1561 - Inventaire après le décès de Marie LHERMITE, à la requête dudit Maître Jean LESCALOPPIER, son mari.
(vue 303) cote S : 27 mars 1535 avant Pâques - vente par honnête homme Nicolas LESCALOPPIER, marchand et bourgeois de Paris audit défunt Maître Jean LESCALOPPIER, son fils.

Original : à partir de la vue 317, les papiers de la veuve sont numérotés à partir des mots du notre père en latin : le premier "pater", le second "noster", le troisième "qui", puis "est", puis "in" puis "celis"... je vous passe la suite puisque vous connaissez tous cette prière en latin naturellement ;) :lol:
Toujours plus fort, à la fin du notre père, on embraye, vue 323 avec l'Ave Maria !

Plus classique à partir de la vue 332, nouvelle numérotation en lettres triples. J'avais oublié la liste des obligations pour le défunt, avant tout cela, en nombres. Cela fait pas moins de 4 ou 5 numérotations différentes pour les titres. Une bonne idée pour compter les moutons de manière originale si vous êtes insomniaques !
Mais j'avoue m'être lassé à la longue...

Bonne journée

Bertrand
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Dans la continuité :

[101 – 33] 19 septembre 1570 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Pierre DROUYN / DROUIN, marchand demeurant à Paris, rue de Montmartre, en la maison du Pot-d’Étain, à la requête d’honorable homme Philippe CRAMOISY, exécuteur testamentaire du défunt, et en la présence d’honorable homme Guillaume DUMETZ, marchand demeurant à Paris, rue Maubuée, se disant créancier du défunt.
(vue 48) cote G : 1568 – inventaire après le décès de feue Marguerite CRAMOISY, femme dudit défunt Pierre DROUYN, tuteur de Philippe DROUYN leur fils âgé de 4 ans et demi.
(vue 48) cote H : 1555 – traité de mariage entre ledit Pierre DROUYN et feue Pasquette REBOURS sa première femme.
(vue 48) cote I : 1560 – traité de mariage entre lesdits Pierre DROUYN et feue Marguerite CRAMOISY sa seconde femme.

[101 – 50] 1570 – Inventaire dressé après le décès de défunt Denis HAC, marchand bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Anne DE SALVANCY, tutrice de leurs enfants mineurs (vue 51), qui a déclaré renoncer à leur communauté de biens (…) Nicolas HAC, oncle paternel.
Honorable homme Nicolas CHEVALLIER élu tuteur subrogé des enfants mineurs (vue 51).
(vue 70) cote A : 1565 [n. s.] – contrat de mariage entre lesdits Denis HAC et Anne SALVANCY ; Geneviève HUOT, veuve de feu Jean SALVANCY, mère de ladite épouse.
(vue 73) cote G : 1567 – ledit défunt Denis HAC, tuteur d’Étienne HAC son frère, héritiers de feue Anne CHEVALIER leur mère.

Bonne journée à tous.
JD
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