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Aide à l'indexation des inventaires de Me Cléophas Péron (1562 à 1595)

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Inventaires de Cléophas Péron - AN ET-XCI-134 (1589)

1 JD
6 JD

18 JD
(22 JD) les vues 22-25 copies conformes des vues 18-21
26 Ch
38 Ch

45 Ch
69 Ch

73 JD
84 JD

93 Ch
107 Ch

114 JD
118 JD

128 A
157 Ch
164 Ch
186 A
189 JD
197 JD
[...]

jeanpaumelinon ha scritto: 23 marzo 2020, 14:14 Bonjour Christophe,
A mon avis c'est plus compliqué que ça, il y a une bonne quantité d'actes signés PERON à droite.

Est-ce que Thévenyn n'aurait pas été premier clerc chez Péron pendant quelques mois, ou années?
Bonsoir Jean Paul,

Les 7 actes de l’année 1594 (vues 1 à 30) sont de Jean Thévenin, et les autres actes (ceux de l’année 1592) sont de Cléophas Péron.
;)
Cléophas Péron a exercé de 1555 à 1599 Etude XCI
Jean Thévenin a exercé de 1588 à 1631 Etude XCI

Les deux notaires ont travaillés pendant 11 ans dans la même étude, leurs liasses (en tout cas celle-ci) se sont trouvées mélangées.

Bonne fin de soirée, et à demain
Christophe.
Ultima modifica di cdemaz il 25 marzo 2020, 09:06, modificato 3 volte in totale.
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Bonjour Christophe
C'est ce que j'ai constaté hier soir en fouillant dans les bouquins écrits par Madeleine JURGENS

Il est alors peut-être judicieux de laisser cette liasse sous la férule de PERON, droit d'ancienneté obligeant?

Ce serait intéressant d'avoir l'avis des archivistes professionnels.
Cordialement
Jean Paul
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Bonjour à tous, :)

voici mes deux lectures :

[134–26] Le jeudi 14 décembre 1589 – Inventaire après le décès de Claude BARDOU. A la requête de son mari, honorable homme Jean LE CONVERS, marchand drapier, maître chaussetier, bourgeois de Paris, demeurant rue aux Ours (aux Oues), paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte, et encore comme tuteur et curateur de Jeanne LE CONVERS, âgée de 5 ans ou environ, leur fille mineure. Et en la présence de honorable homme Pierre LANGLOYS, maître orfèvre bourgeois de Paris, oncle à cause de Denise BARDOU sa femme, et subrogé tuteur de ladite mineure. Les biens étant en une maison et lieu sise à Paris en ladite rue aux Ours, en laquelle ledit LE CONVERS est demeurant, et icelle défunte serait décédée.
Vue 31, cote 1 : 1583 – Contrat de mariage Jean LE CONVERS x Claude BARDOU. Une maison rue Aubry-le-Boucher, où est pour enseigne les trois Chandeliers.
Vue 37 : 1584 – Transaction entre Jean POULAIN, archer du Guet à cheval de Pariset Jean LE CONVERS et Claude BARDOU sa femme pour raison de la succession de défunte Nicole BEAUVAIS ( ?), femme dudit POULAIN et auparavant de feu Jacques BARDOU, père et mère de ladite BARDOU.

[134–38] Le jeudi 16 novembre 1589 – Inventaire après le décès de Geneviève GLANE (GLANNE), survenu dès le 29 octobre 1589. A la requête de son mari, honorable homme Guillaume DUPUIS, marchand de vins et bourgeois de Paris demeurant rue Beaurepaire, paroisse Saint-Sauveur, tant en son nom que comme ayant administré les obsèques de la défunte. Et en la présence de Nicolas DEFFOSSE (signe DESFOSSÉS), libraire et relieur de livres à Paris, demeurant rue Saint-Jean-de-Latran, paroisse Saint-Etienne, en son nom à cause de Perrette GLANE sa femme ; Catherine RICHARD, veuve de Robert GLANE, maître pâtissier à Paris, demeurant rue Saint-Jean-de Beauvais, au nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs ; Jean BECQUET, maître chaudronnier à Paris demeurant rue Bril Boucher (Aubry-le-Boucher), en son nom à cause de Catherine CHARPENTIER sa femme, fille de Jeanne GLANE, et encore ledit BECQUET comme se faisant fort des autres enfants de ladite défunte Jeanne GLANNE l’aînée ; Charles AUDRY, bourgeois de Paris demeurant cloître et paroisse Sainte-Opportune, aussi en son nom à cause de Jeanne GLANE sa femme, fille de défunt Nicolas GLANE et encore ledit Charles AUDRY comme se faisant fort de Jacques BRE…, demeurant rue Saint-Denis, fils unique de défunts Geoffroy BRUMENT et Jeanne GLANNE la jeune sa femme ; et encore ledit DEFFOSSE comme se disant avoir charge de …CTEVIN, marchand à Paris demeurant rue de la Harpe, tuteur légitime des enfants de défunte Andrée GLANNE jadis sa femme qui était (fille) de ladite défunte Geneviève GLANNE. Lesdits Perrette GLANE […] de défunt Robert GLANNE, enfants de ladite défunte […] l’aînée, Jeanne GLANNE, femme dudit Charles AUDRY, Jacques […] et enfants de la défunte Andrée GLANNE, tous (habiles) à être héritiers de ladite Geneviève GLANNE, ladite Perrette GLANNE seule pour une tête qui est un sixième, et les autres par représentation ses neveux et nièce tous en la succession de la défunte Geneviève GLANNE, sœurs de ladite Geneviève et tante des autres dessus nommés. Les biens étant en une maison et lieu en ladite rue Beaurepaire où ledit DUPUIS est demeurant et en laquelle la défunte sa femme est décédée.
Vue 44, cote 2 : 1565 – Contrat de mariage Guillaume DUPUIS x Geneviève GLANNE. Geoffroy BRUMAN, alors tuteur de la future.

A plus tard.
Christophe.
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Bonjour Christophe,

Dans le [134-38], je pense que les deux noms manquants sont BREMENT et POICTEVIN
Cordialement
Jean Paul
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Bonjour aux fidèles ; et aux isolés qui ne peuvent participer.

Les 18 et 22 ne font qu'un, mais il n'est pas facile :

[134 - 18] 14 novembre 1589 – Inventaire dressé après le décès, survenu en juillet 1589, de défunte Nicole MOREL / MORET, à la requête de son veuf honorable homme Jean THIEBLE, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Transnonnain, paroisse Saint-Nicolas, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, et en la présence d’honorable homme Nicolas BRILLET, marchand drapier chaussettier à Paris, demeurant devant le Palais, rue de la Barillerie, paroisse Saint-Barthélémy, père de défunte Nicole BRILLET et Catherine BRILLET, fille de lui et de feue Madeleine MOREL sa feue femme, à laquelle défunte Madeleine MOREL et aux (sœurs ?) lesdits THIEBLE et défunte Nicole MOREL sa femme avaient fait don ensemblement entre vifs de tous leurs biens à la réservation de l’usufruit selon qu’il est porté par ledit don et aux charges y contenues.
(vue 21 – cote 1) François PICART, maître coffretier à Paris, héritier de feue Geneviève PICART, qui fut femme dudit Jean THIEBLE.
(vue 21 – cote 2) Madeleine MOREL, fille de Jean MOREL, et nièce de ladite défunte Nicole MOREL.

Et aussi : un problème avec la date (sans doute erreur de ma part)

À bientôt.
Chapeau, Christophe !
JD
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Re,

et une paire d'autres :

[134–45] Le lundi 18 décembre 1589 – Inventaire après le décès de Jeanne GROUETTE, survenu depuis 15 jours en ça. A la requête de son mari, honorable homme Antoine LAMBERT, marchand maître boulanger, bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Nicolas, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte. Et en la présence de René LECLERC, aussi maître boulanger à Paris, demeurant rue de la Tonnellerie, paroisse Saint-Eustache, en son nom, fils de ladite défunte Jeanne GROUETTE et de feu Nicolas LECLERC, son premier mari ; et aussi en la présence de Jean LEFORT, maître pâtissier oublier à Paris, demeurant rue Saint-Denis, paroisse Saint-Sauveur et de Jeanne LAMBERT sa femme, fille desdits Antoine LAMBERT et de la défunte. Lesdits René LECLERC et Jeanne LAMBERT, frère et sœur utérins, enfants et habiles à se dire, porter et nommer héritiers chacun pour moitié de la défunte leur mère. Les biens étant en une maison et lieu où ledit LAMBERT est demeurant, sis en ladite rue Saint-Martin, et en laquelle maison la défunte serait décédée.

[134–69] Le samedi 30 décembre 1589 – Inventaire après le décès de Claude LEROY, survenu dès 4 mois et demi sont ou environ. A la requête de son mari, Jean JONNIN (JEUNIN ?), marchand boutonnier patenôtrier d’émail à Paris, demeurant rue Saint-Denis, paroisse Saint-Nicolas, en son nom et comme ayant fait et administré les obsèques et funérailles de la défunte. Et en la présence de honorable homme Antoine LESUEUR, maître batteur d’or et d’argent à Paris, et Denise LE ROY sa femme, demeurant rue de la Cossonnerie, et de Jean LELOUP, maître orfèvre demeurant sur le pont aux Changeurs, en leurs noms. Ledit LESUEUR à cause de Denise LEROY sa femme, sœur d’icelle défunte, et ledit LELOUP à cause de Jacqueline PERROT sa femme, fille de défunte Madeleine LEROY. Lesdites Denise LEROY et Jacqueline PERROT, par représentation de ladite défunte sa mère, habiles à être héritières chacune pour un tiers, avec Marguerite LEROY, fille de feu Guillaume ( ?) LEROY, maître gainier à Paris, de ladite défunte Claude LEROY, sœur et tante desdites Denise LEROY, Jacqueline PERROT et Marguerite LEROY. Simon GUENIN, oncle de ladite Marguerite LEROY, avec lequel elle est demeurant. Les biens étant en une chambre et bouge au deuxième étage des appartenances d’une maison sise en ladite rue Saint-Denis, où est pour enseigne les Rats ( ?).

Merci JD ;) en fait c'était l'interligne que je ne lisais pas, mais tu m'a bien aidé :lol:

Christophe.
Ultima modifica di cdemaz il 24 marzo 2020, 20:22, modificato 1 volta in totale.
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Bonsoir JD,

Effectivement pas aisé.
pour la date je lis comme toi mardi 12 novembre. Le clerc à fait une coquille sans doute. (novembre au lieu de septembre semble peu probable, mais je ne vois pas ce que ça pourrait être d'autre)

Perso à la vue 20 je lis MORET partout (c'est seulement dans les papiers qu'on lis MOREL).

Madeleine MORET, sa feue femme à laquelle défunte Madeleine MORET et aux sœur ( ?) lesdits THIEBLE et défunte Nicole MORET sa femme avaient fait don ensemblement entre vifs de tous leurs biens à la réservation de l’usufruit selon qu’il est porté par ledit don et aux charges y contenues.

Contenues, comme à la deuxième ligne page de droite vue 25 ?

@ plus.
Christophe.
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Bonsoir Christophe

Pour la date je crois voir mardy XX1ziesme jour de novembre

Est-ce que ça pourrait convenir ?
Cordialement
Jean Paul
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jeanpaumelinon ha scritto: 24 marzo 2020, 18:51 Bonsoir Christophe

Pour la date je crois voir mardy XX1ziesme jour de novembre

Est-ce que ça pourrait convenir ?
Je vois plutôt un d que des X...

@ Christophe (modeste contribution) : rue de la Cossonnerie, simplement.

Ceux-ci sont plus lisibles :

[134 - 73] 20 novembre 1589 – Inventaire dressé après le décès de feue Marguerite DUHAMEL, à la requête de son veuf honorable homme Richard DUCHASTEL, marchand de vins bourgeois de Paris, y demeurant rue au Maire, au Soufflet, paroisse Saint-Nicolas, en son nom et comme ayant fait et administré les obsèques et funérailles de la défunte.

[134 - 84] 22 août 1589 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 17 août 1589, de défunte Perrette VARCHOT, jadis femme de feu Cornille PREUDON, à la requête d’honorable homme René BOURDIN, marchand et bourgeois de Paris, , demeurant rue Frépault (Phelipeaux), paroisse Saint-Nicolas, au nom et comme tuteur et curateur de Jean BOURDIN l’aîné, âgé de 17 ans, Jean BOURDIN le jeune, âgé de 15 ans, Aimé BOURDIN, âgé de 14 ans, Simon BOURDIN, âgé de 9 ans, René BOURDIN, âgé de 6 ans et Gaston BOURDIN, âgé de 3 ans et demi, ou environ, enfants mineurs de lui et de feue Marie DE BERMONT jadis sa femme, lesdits mineurs habiles à être héritiers de la défunte leur aïeule maternelle, et en la présence d’honorable homme Robert FERRANT, marchand épicier à Paris, demeurant rue Mouffetard, hors la porte Saint-Marcel, cousin et subrogé tuteur desdits mineurs
Les biens étant en une maison assise en ladite rue Frépault (Phelipeaux), avec ledit René BOURDIN, et où ladite défunte s’était retirée depuis peu de temps et fait apporter ses meubles pour la conservation d’iceux par le moyen (la raison) de la guerre et des soldats qui sont ès faubourg Saint-Martin, où elle demeurait auparavant.
(vue 91) ladite défunte lors veuve de feu Gaston LANGLOIX.
JD
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Merci JD,

a y regarder plus avant, je crois que c'est 14 novembre :
quatorze.jpg
et cela colle avec mardi :roll:

Christophe
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Salut les aminches,

Voici une modeste contribution.

Si quelqu'un pouvait boucher le trou pour faire plus propre et m'aider à lire les noms...

[134–128] 9 mars 1589 – Inventaire après le décès de Catherine PRIVE, à la requête d’Etienne CHERIOT (CHEREAU), maître bourrelier, demeurant à Paris, rue Grenéta (Garnetail), paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, tant en son nom que comme exécuteur du testament ayant fait et administré les obsèques et funérailles de la défunte, sa femme., et encore au nom et comme tuteur et curateur créé et ordonné par justice le 19 décembre 1586 aux personnes et biens de Claude, Toussaint et Perrette CHERIOT (CHEREAU), leurs enfants mineurs, et en la présence de Jean CHERIOT (CHEREAU), aussi maître bourrelier à Paris, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs.

Vue 153 : Copie du contrat de mariage du 12 novembre 1573 devant Courtillier et Jablier, notaires au Châtelet de Paris, entre Etienne CHEREAU, maître bourrelier, et Catherine PRIVE, sous l’autorité de Nicolas BATILLART, bourgeois de Paris, son tuteur, fille mineure de feus Pierre PRIVE, vivant bourgeois de Paris, et de Madeleine DESSCOSSE, jadis sa femme. En la présence de Marie GAMBON, femme de Me Jean DESSCOSSE, oncle maternel de la future et de Guillaume PAYEN, bourgeois de Paris, ami commun des futurs, Guillaume CHEREAU, maître bourrelier, et de Marguerite CHEREAU, frère et sœur du futur.

Bonne soirée ;)

Anthony
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Bonjour à tous, :)

salut Anthony, content de te lire, tout va bien ?

Pour ton acte :
[134-128]
Grenéta (Garnetail)
Aux personnes et biens de Claude.
Pour les patronymes je dirais plutôt PRIVE et DESSCOSSE.

Et voici ma contribution avec des interrogations :? :

[134–93] Le vendredi 15 décembre 1589 – Inventaire après le décès de Pierre LIZETTE (LYETTE ?), maître jardinier à Paris. A la requête de Jacqueline LE MAISTRE, sa veuve, demeurant ès faubourgs de Paris, porte Saint-Denis, près l’église Saint-Lazare, paroisse Saint-Laurent, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt, et encore comme tutrice de Françoise et Girarde LIZETTE, leurs filles mineures. Et en présence de Antoine LIZETTE, aussi maître jardinier à Paris, demeurant à la Courtille lès Paris, oncle paternel et subrogé tuteur desdites mineures. Les biens étant tant en la maison où le défunt serait décédé, que autres lieux.
Vues 97 et suivantes : Prisée des verdures.
Vue 105 : 1587 – Partage entre ledit Antoine LIZETTE et ledit défunt Pierre LIZETTE, son frère, de la succession de défunts Laurent LIZETTE et de Jeanne FAUVEAU ( ?) leur père et mère.

[134–107] Le lundi 18 septembre 1589 – Inventaire après le décès de Jacqueline LAURENS. A la requête de son mari, Cosme JUGER (ou INGER), maître corroyeur de cuirs de Hongrie à Paris, demeurant ès faubourgs de Paris, hors la porte Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent, en son nom et comme tuteur et curateur de Pierre JUGER, âgé de 14 à 15 ans ou environ, leur fils mineur. Et en la présence de Hubert JUGER, aussi maître corroyeur de cuirs à Paris demeurant ès dits faubourgs, en son nom et de Naudin JUGER, aussi corroyeur de cuirs à Paris et demeurant ès dits faubourgs, oncle paternel et subrogé tuteur dudit mineur. Lesdits Hubert et Pierre JUGER, frères, enfants et habiles à être héritiers chacun pour moitié de la défunte leur mère.
Vue 112, cote 5 : 1576 – Contrat de mariage par-devant les tabellions royaux à L…ers (Louviers ?), entre Jean LAUZERE dit Milet, tisserand demeurant audit Lo..ers, et Jeanne HERCENT, alors veuve de Cardin BUTOR ( ?).
1587, cote 7 : Jean LAUZERE, tisserand et Jeanne HERSANT sa femme, demeurant en la paroisse Notre-Dame dudit Louière ( ?). Ladite Jacqueline LAURENS était et a été héritière de ladite défunte Jeanne HERSAN.

Merci JD et Jean Paul.
A plus tard
Christophe.
Ultima modifica di cdemaz il 25 marzo 2020, 18:15, modificato 1 volta in totale.
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cdemaz ha scritto: 25 marzo 2020, 09:05 Jacqueline LE MARSTOU ( ?), sa veuve,

A la requête de son mari, Cosine ( ?) JUGER (INGER ?),
Bonjour à tous,

Pour le premier, il doit s'agir de Jacqueline LE MAISTRE ; on a tellement l'habitude de voir ce mot abrégé qu'on oublie sa forme explicite.

Pour le second, le prénom est Cosme / Côme ; pour le nom, impossible de trancher entre JUGER et INGER, mais c'est l'un des deux.
Je n'ai rien trouvé pour le lieu de la vue 107...

À mon tour :

[134 - 114] 18 décembre 1589 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean GUITOLO, à la requête de sa veuve en dernières noces Perrette BOULLET, auparavant veuve de feu François ROCHER et encore auparavant de feu François HERVY / HERNY, demeurant ès faubourg Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent et au dessus de la barrière dudit Saint-Laurent, en son nom, et pour la conservation de ses biens et droits.

[134 - 118] 28 novembre 1589 – Inventaire dressé après le décès, survenu à Amiens le 30 octobre 1589, de feu honorable homme Jean BERTIN l’aîné, marchand boucher à Paris, à la requête de sa veuve Marguerite TARGER, demeurant rue des Vieux-Augustins, paroisse Saint-Eustache, en son nom, à cause de ses conventions matrimoniales portées par leur contrat de mariage, et aussi à la requête de Jean BERTIN le jeune, aussi marchand boucher, demeurant rue Pied-de-Bœuf, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, habile à se dire, nommer et porter héritier dudit défunt son frère, et en la présence de Jacques TALBOT, marchand à Paris, demeurant rue du Bon-Puits, paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet, se disant exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté dudit défunt.
(vue 123) contrat de mariage ; Michel LE FEBVRE, beau-frère de ladite TARGER
(vue 126 – cote 24) succession de Martine BAZOT, femme dudit défunt BERTIN ; Raoulquin BAZOT, mari de Martine GRANVAL, et Perrette BAZOT, femme de Pierre BLOCQUETOUR, ses héritiers.

Vivement le printemps !
JD
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Bonjour à tous,

Ca va Christophe, merci beaucoup! J'espère que tout ceux qui font vivre ou suivent ce fil se portent bien eux aussi :)

JD vient juste de le réserver (désolé pour l'incruste de dernière minute! :? ) mais je viens de faire celui-ci qui n'est pas très compliqué:

[134–186] 18 décembre 1589 – Inventaire de biens à la requête de Jacqueline CAMUS, femme séparée quant aux biens d’avec Louis LECOUFLE, compagnon d'étable à Paris, demeurant rue de la Croix, près le Pied de Biche, paroisse Saint-Nicolas, par sentence de séparation donnée le 14 décembre 1589

A+

Anthony
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alachaud ha scritto: 25 marzo 2020, 10:40 JD vient juste de le réserver (désolé pour l'incruste de dernière minute! :? ) mais je viens de faire celui-ci qui n'est pas très compliqué:

Louis LECOUFLE, compagnon … à Paris, demeurant
Salut Anthony, content de te revoir/lire. Ça tombe bien que tu aies pris le 186 ; ce compagnon d... me met en échec. Je lis "d'estrille"... mais ça ne veut rien dire.
JD
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