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Aide à l'indexation des inventaires de Me Richard Bourgeois (1622 à 1628)

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bertrandg
male
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Inventaires de Richard Bourgeois - AN ET-C-170 (1622-1623)

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268 Ch

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282 JD
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291 Ch
299 Ch

305 Ch
322 Ch


https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=357787
Inventaires de Richard Bourgeois - AN ET-C-172 (1627-1628)

1 JD
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33 JD
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44 Ch
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86
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337

Bonjour,

pour aujourd'hui, un tout petit :

[170 - 190] 24 février 1623 - Inventaire à la requête de Jeanne DENIS, veuve de Gilles GODEFROY, compagnon tripier, demeurant à Paris, rue de la Bucherie, paroisse Saint-Séverin en la maison où est pour enseigne la Croix d'Or. En la présence de Poncelet MOREAU, compagnon boucher à Paris, son fiancé et pour satisfaire à la clause apposée au contrat de leur mariage passé ce jourd'hui par les notaires soussignés.

Bonne journée,

Bertrand
Ultima modifica di bertrandg il 07 maggio 2021, 14:05, modificato 1 volta in totale.
cdemaz
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Amateurs de hastes plongeantes ou de crosses montantes et autres boucles, bonjour,

un petit pour commencer :

[170–193] Le mardi 31 janvier 1623. Inventaire de ses biens et à sa requête de Marie LHOMME, veuve de Nicolas DURU, étalier boucher, demeurant rue de la Bûcherie, paroisse Saint-Séverin. Les biens étant en une petite chambre sur le derrière de la maison où elle est demeurant.

Et un autre plus difficile, où on sent le clerc pas très clair sur le patronyme, il écrit GIBANDIER GIRANDIER GILLANDIER et même TALLANDIER (avec les variantes possibles AU/AN voire AR).
Et le requérant semble signer GILLARDIÉ (vue 199).
Je mets quoi … ?
C'est vrai quoi.jpg
Ouf, tout s’éclaire à la fin (vue 203) C’est GILLANDIER/GILLANDIÉ.

[170–198] Le samedi 30 décembre 1622. Inventaire après les décès de Gabriel GILLANDIER/GILLANDIÉ, maître serrurier à Paris, veuf en premières noces de Suzanne de PARS, et de Damienne LEROY, sa secondes épouse. A la requête de Pierre GILLANDIER (signe GILLANDIÉ), taillandier demeurant à Sézanne (51120) en Brie, étant à présent à Paris, et Jacques HEZART, marchand drapier drapant demeurant audit lieu, au nom et comme tuteurs et subrogés tuteurs de Louise et Jacques GILLANDIER, enfants mineurs du défunt et de sa première femme, et de Salomon et Marie GILLANDIER, aussi enfants mineur du défunt et de sa seconde femme. Scellé mis et posé à la requête de honorable homme Jacques AUBIN, bourgeois de Paris, oncle maternel à cause de Denise PARS, sa femme, desdits Louise et Jacques GILLANDIER. Les biens étant en une maison sise proche et joignant la porte Saint-Germain, où le défunt était demeurant, et serait décédé.
(vue 202) cote 1 : 1612 – Contrat de mariage Gabriel GILLANDIER x Damienne LE ROY.
(vue 203) cote 3 : 1611 – Inventaire après le décès de Suzanne de PARS, à la requête de son mari, ledit Gabriel GILLANDIER, Pierre DUMET et Jacques AUBIN.

je réserve les deux gros 265 et 268 ;-)
Christophe.
bertrandg
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La suite, un qui est un peu moins obscur :idea: question écriture :

[170 - 204] 3 décembre 1622 - Inventaire de feu Monsieur Maître François de LAVAU, conseiller du Roi en sa Cour de Parlement à Paria, à la requête de sa veuve, demoiselle Catherine de LALANDE, demeurant rue Poupée, paroisse Saint-Severin, donataire mutuelle du défunt. Noble Jacques LADMIRAULT, sieur des Francs Bourgeois, conseiller du Roi et trésorier général de France à Orléans et demoiselle Marie LHOSTE, sa femme, procureur de dame Claude de LAVAU, veuve de feu noble CLAUDE LHOSTE, secrétaire de la chambre du Roi, noble Jean BOUCHER, écuyer, sieur de Guilleville, contrôleur de la Maison du Roi et Demoiselle Madeleine de LAVAU sa femme, noble François MARTIN, sieur de Coinche, à cause de dame Marye de LAVAU sa femme. Lesdits Claude, Madeleine et Marie de LAVAU soeurs et héritières chacune pour un tiers du défunt leur frère.
(vue 222) cote 1 : 14 décembre 1616 - testament sous seing privé du défunt.
cote 2 : 10 août 1620 - contrat de mariage de Maître François MARIEN, procureur en la Cour de Parlement et Claude BERENGER, filleule de ladite demoiselle DELAVAU.

Bonne journée.

Bertrand
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Bonsoir à tous

[170 – 229] 12 décembre 1622 – Inventaire dressé après le décès de défunte Geneviève HUAULT, à la requête de son veuf honorable homme Jacques FLAMANT, bourgeois de Paris, demeurant rue de la Calandre, paroisse Saint-Germain-le-Vieil, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs Philippe, Jacques, Antoinette, Marie et Anne FLAMANT, et de Simon FOUCAULT, porte-manteau de la Reine, à cause de Geneviève FLAMANT sa femme, fille desdits veuf et défunte, habile avec lesdits mineurs à se dire, porter et nommer héritiers d’icelle défunte, et encore ledit FOUCAULT subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 251) cote 1 : 1602 – contrat de mariage entre lesdits Jacques FLAMANT et Geneviève HUAULT ; Julien HUAULT et Geneviève GRANDGUILLOT père et mère de ladite femme.
(vue 254) cote 21 : 1622 – contrat de mariage entre lesdits Simon FOUCAULT et Geneviève FLAMANT.

[170 – 258] 27 octobre 1622 – Inventaire dressé après le décès de défunt Me Audebert HEUDON, licencié ès lois, à la requête de son frère Me Jean HEUDON, avocat en la cour de parlement, habile à se dire, porter et nommer héritier du défunt, et créancier d’icelui, et de Robert LEHUYT / LE HUICT, maître tanneur à Paris, demeurant ès faubourg Saint-Marceau, dans la maison duquel le défunt demeurait, et gardien des ses meubles.

Quelle est donc cette profession :o
Screenshot_2021-05-07 AN ET-C-170 1622 - 1623 Paris (Paris, France) - Geneanet.png
À bientôt !

Waouh Christophe, rapide et efficace... Ce qui est curieux, c'est que dans l'"Inventaire des arrêts du conseil privé", il est dit maître mégissier. Je cherchais donc une profession plus... manuelle.
JD
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Je te propose licencié ès lois.

Christophe.
cdemaz
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Bonjour à tous,

deux petits :

[170–265] Le lundi 10 octobre 1622. Inventaire après le décès de Hercule de FLEURY, gentilhomme du pays de Sens. A la requête de honorable homme Jacques GARNIER, marchand cabaretier à Paris, demeurant rue de la Huchette, à la maison de la Lamproie. En la présence de noble homme maître Pierre Jacques, avocat en la cour de Parlement, et substitut du procureur du Roi, et encore de maître Pierre BADEFROY, clerc de noble homme maître Robert Foissart, avocat en parlement. Les biens étant en ladite maison de la Lamproie, où il était logé.

Absolument, merci JD.

[170–268] Le 2 août 1622. Inventaire après le décès de Regnault BELLEJEUNE, gagne-denier à Paris. A la requête de Guillemette PIERRE(?), sa veuve, demeurant rue des Lavandières, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, en son nom à cause de ses conventions matrimoniales. Et en la présence de noble homme Pierre Jacques, substitut du procureur du Roi, pour l’absence des héritiers.

291 et 299 SVP pour la suite.
Merci
Christophe.
Ultima modifica di cdemaz il 08 maggio 2021, 18:09, modificato 1 volta in totale.
cdemaz
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Et les voilà :

[170–291] Le 11 avril 1622. Inventaire après le décès de Marguerite LUYLIER. A la requête de Pierre TAUPIN, son mari, maître tailleur d’habits à Paris, y demeurant rue Sainte-Geneviève, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, et de François TALLON, maître tailleur d’habits à Paris, y demeurant rue Chartier, paroisse Saint-Hilaire, comme tuteur de Christine et Nicolas AUMONT, enfants mineurs de défunt Jean AUMONT, maître tailleur d’habits à Paris, premier mari de ladite LUYLIER, et d’icelle LUILLIER. Et en la présence de Julien BOUCHER/BOUCHET, pareillement maître tailleur d’habits à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une chambre où est à présent ledit TAUPIN, et en la maison de Pierrette LUILLIER, sœur de la défunte, sise rue Neuve-Notre-Dame, proche l’église Sainte-Geneviève.
(vue 294) cote 1 : 1621 – Contrat de mariage Pierre TAUPIN x Marguerite LUILLIER. Philippe LUILLIER, frère de ladite LUILLIER.
(vue 295) cote 2 : 1621 – Inventaire après le décès de Marguerite SENESCHAL, première femme dudit Pierre TAUPIN, à sa requête tant en son nom que comme père et tuteur naturel de leurs enfants mineurs. En la présence de Rémi SENESCHAL, oncle desdits mineurs.
Ledit TAUPIN doit 4 livres à Adrien TAUPIN, son frère.

[170–299] Le 21 mars 1622. Inventaire après le décès de Catherine CHARPENTIER, veuve de Baudichon CHEVALLIER. A la requête de Jean CHEVALLIER, maître cordonnier à Paris, y demeurant sur le quai des Ormes, paroisse Saint-Gervais, donataire de la défunte, et de maître Pierre HOYAU, prêtre habitué en l’église Saint-Séverin, comme exécuteur du testament de la défunte du 20 mars 1619 (Bourgeois). Les biens étant en la chambre où la défunte CHARPENTIER est décédée, dépendant d’une maison sise rue de la Bûcherie.

Allez, je réserve les deux derniers de la liasse.
Christophe.
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cdemaz ha scritto: 08 maggio 2021, 07:23 [170–265] Herault(?) de FLEURY, ... du pays de Sens(?).
Bonjour Christophe, et à tous.

Je pense qu'il faut lire Hercule DE FLEURY, gentilhomme du pays de Sens.
JD
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Après :

[170 – 282] 18 mai 1622 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean CERTAIN, racoustreur de bas et d’étame à Paris, à la requête de sa veuve Noëlle DU VAL, demeurant rue de la Vacherie, tant en son nom que comme tutrice naturelle de leur fils mineur Romain CERTAIN, âgé de 20 ans environ, et en la présence de Jean LE PRESTRE, marchand mercier à Paris, demeurant rue de Poitou, au marais du Temple, gendre de ladite veuve à cause de Claude CERTAIN sa femme.

[170 – 287] 20 avril 1622 – Inventaire dressé après le décès de défunte Marie CHARPENTIER, veuve de Michel FAUVEAU (?), à la requête de Jean ERARD, maître semellier à Paris, comme tuteur des enfants mineurs des défunts, et en la présence de Simon PERIOT, compagnon parcheminier, subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant en une maison sise dans le cimetière Saint-Séverin, où la défunte est décédée.
(vue 289) cote 3 : testament et papiers concernant Michelle BOUTET, au jour de son décès femme dudit défunt Michel FAUVEAU.
(vue 290) cote 5 : 1615 - inventaire après le décès dudit Michel FAUVEAU (acte indexé).

Pour le 287, dans les titres, le défunt est toujours désigné par « ledit défunt FAUVEAU », et on a indexé (1615) son iad. Par contre, dans l’intitulation, le nom FAUVEAU est biffé, au profit d’un CHA… peu lisible. Troublant.
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À bientôt.
JD
jeanpaumelinon
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Bonjour JD,

C'est vrai qu'on dirait qu'il y a écrit CHAUVEAU. En même temps FAUVEAU, CHAUVEAU, phonétiquement ça se joue au nombre d'incisives absentes dans la bouche de la personne qui parle...
Cordialement
Jean Paul
cdemaz
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Bonjour à tous,

mon épitre du jour :

[170–305] Le vendredi 18 février 1622. Inventaire après le décès de noble homme Jacques LAMBERT, huissier ordinaire de la chambre du Roi. A la requête de dame Marguerite QUETIF, sa veuve, demeurant à Paris, rue Chandelière, aboutissant en la rue de la Huchette, paroisse Saint-Séverin, au derrière de la maison des Trois Chandeliers, tant en son nom que comme mère et tutrice de Jean, âgé de 24 ans, Catherine, âgée de 18 ans, Anne, âgée de 17 ans, et Marie LAMBERT, âgée de 15 ans, enfants mineurs et héritiers chacun pour 1/5 du défunt leur père. Aussi à la requête de maître Guillaume ENGRAND (signe ANGRAN), huissier ordinaire des requêtes de l’hôtel du Roi et Marguerite LAMBERT, sa femme, fille et héritière aussi pour un cinquième du défunt. Et en la présence de noble homme maître Claude JOLLY (signe JOLY), receveur(?) au grenier à sel de Feurs (42110) en Forez, demeurant à Paris, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 319) cote 24 : 1595 – Contrat de mariage Jacques LAMBERT x Marguerite QUETIF. Françoise HOUPIL (lire plutôt GOUPIL), mère de la future.
(vue 319) cote 25 : 1617 – Contrat de mariage Guillaume ANGRANT x Marguerite LAMBERT, fille desdits Jacques LAMBERT et Marguerite QUETIF, promettent 4 000 livres tournois en avancement d’hoirie.
(vue 319) cote 26 : 1608 – Contrat concernant la maison des Trois-Chandeliers, entre Catherine QUETIF, veuve de feu Guillaume DE LA FAYE, sergent à verge au Châtelet de Paris, Claude BERTHELEUX (BERTHELEROY ?), maître rôtisseur à Paris et Marie QUETIF, sa femme, Germain LE MOYNE, marchand teinturier, bourgeois de Paris et Geneviève QUETIF sa femme, dame Philippe QUETIF, femme autorisée par justice au refus de maître Claude JOLLI, procureur au Châtelet de Paris, et Jacques LAMBERT, en son nom et comme adjudicataire des maisons, et Marguerite QUETIF, femme autorisée au refus dudit LAMBERT, et maître Georges QUETIF, suivant les finances. Lesdits Catherine, Marie, Geneviève, Philippe, Marguerite et Georges QUETIF, frère et sœurs, enfants et héritiers pour 1/6 de défunts Philippe QUETIF et Françoise GOUPIL.

Merci JD

[170–322] Le 14 janvier 1622. Inventaire après le décès de Pierre DAVID, musicien du Roi, décédé depuis peu en la ville de Toulouse. A la requête de maître Pierre BORRET, prêtre chanoine en l’église Notre-Dame de Murat (15300) en Auvergne, étant de présent à Paris …, en la présence de Jean (?) LANGUEDOC … et habiles à succéder au défunt, Jean LANGUEDOC, maître tourneur en bois, Jacques MOULINIER, maître tailleur d’habits à Paris, créanciers du défunt. Les biens étant en la deuxième chambre d’une maison étant sur le fossé d’entre les portes de Nesle et de Buci, où est demeurant ledit LANGUEDOCQ.

Je veux bien les 25 et 30 STP. Merci. Merci de corriger une coquille dans le numéro de la liasse que nous attaquons. Il s'agit de la liasse 172 et non pas la 170.
A bientôt
Christophe.
Ultima modifica di cdemaz il 09 maggio 2021, 13:43, modificato 3 volte in totale.
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cdemaz ha scritto: 09 maggio 2021, 10:33 Claude JOLLY (signe JOLY), receveur(?) au grenier à sel de Fe.. en Forez,
Bonjour à tous,
Christophe, il s'agit probablement de Feurs (42110), où il y avait bien un grenier à sel.
Screenshot_2021-05-09 L'état des ventes du sel vers 1625 - Persée.png
Je ne lancerai pas dans le 322 où règne une certaine confusion. J'ai seulement l'impression qu'il y a un seul (Jean) LANGUEDOC (tu as oublié un E).

À plus tard.
JD
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Il appert :

[172 – 1] 26 novembre 1627 – Inventaire dressé après le décès de défunte honorable femme Florence VIELLARD, veuve de feu Me Nicolas DE PARS, huissier du Roi en sa cour des Aides à Paris, à la requête d’honorable femme Anne VIELLARD / VEILLARD, veuve de feu Me Michel BAUCHERON, procureur en la cour de parlement, habile à succéder à la défunte sa sœur, et de noble homme Me Jean LEJAY, avocat en ladite cour de parlement, comme exécuteur testamentaire de la défunte, en la présence de noble homme Jean DECOURLAY, conseiller du Roi et trésorier général de France en la généralité d’Orléans, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de défunt noble homme Me Pierre VIELLARD, conseiller du Roi et trésorier général de France en la généralité de Paris qui fut habile à succéder à la défunte, avec Marguerite VIELLARD sa sœur, par représentation de défunt Me Guillaume VIELLARD leur père, huissier en la cour de parlement qui était frère consanguin de ladite défunte, Me Guillaume BRARD, procureur en parlement, à cause de ladite Marguerite VIELLARD sa femme, Me Jean Jacques VIELLARD, avocat en ladite cour et chanoine en l’église de Paris, tant en son nom que comme se faisant fort de David VIELLARD son frère, bourgeois demeurant à Metz et de Jonas BARTHELEMY, bourgeois demeurant audit Metz et Marie VIELLARD sa femme ses frère et sœur, les trois habiles à succéder à ladite défunte par représentation de défunt Claude VIELLARD leur père, bourgeois demeurant à Metz, qui était frère consanguin de la défunte, et de damoiselle Catherine DEMONS, veuve de défunt noble homme Me Jean BELHOMME, conseiller du Roi et lieutenant criminel au bailliage et siège présidial de Meaux, aussi héritier, par représentation de défunte Jeanne VIELLARD sa mère, qui était sœur germaine, comme ladite Anne VIELLARD, de ladite défunte, et partant, habiles à succéder, tant aux propres maternels que en partie aux meubles et acquêts à ladite défunte, et encore en la présence de Me Germain Soufflot, pour l’absence de noble homme Me Pierre VIELLARD, naguère conseiller du Roi et trésorier des fortifications dudit Metz, aussi habile à succéder à ladite défunte, par représentation de défunt noble homme Me Eustache VIELLARD, conseiller du Roi et trésorier desdites fortifications, aussi frère consanguin de ladite défunte.
Les biens étant en la maison dudit sr. LEJAY, sise rue du Plâtre, paroisse Saint-Séverin.
(vue 11) cote 11 : 1607 – Catherine DE PARS, fille dudit Nicolas DE PARS et femme dudit Jean LEJAY.
(vue 16) cote 23 : 1596 – Marguerite MAUROY, veuve de feu Me Guillaume VIELLARD, au regard du contrat de mariage d’entre lesdits Nicolas DE PARS et Florence VIELLARD, et d’une somme d’argent baillée à Me Nicolas VIELLARD son fils.

[172 – 17] 27 août 1627 – Inventaire dressé après le décès de défunte honorable femme Catherine HINDRET, veuve de feu honorable homme Nicolas HUMBERT, maître barbier chirurgien bourgeois de Paris, à la requête d’honorable homme Claude HINDRET, marchand drapier bourgeois de Paris, demeurant rue des Lombards, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie, au nom et comme exécuteur testamentaire de la défunte, et en la présence de noble homme Florent HINDRET, valet de chambre du Roi et de la Reine, et de dlle Marie HINDRET sa sœur, femme de chambre de la Reine et veuve de feu Jean MASSÉ, chef de gobelet de Monsieur, frère du Roi, héritiers de ladite défunte.
Les biens étant en la maison où demeure Me André Malezieux, huissier du Roi en sa cour de parlement, sise en une petite rue qui aboutit d’un bout à la rivière et de l’autre en la rue de la Huchette, montrés par Jacqueline Humbert, qui demeurait avec la défunte.
(vue 23) cote 8 : 1619 – Jacqueline HUMBERT, veuve de feu Charles VALLIER, sœur et héritière pour le tout dudit défunt Nicolas HUMBERT.

Bon dimanche.

Ça me semble préférable en effet, Christophe. Merci.
JD
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Salut JD,

je propose "bourgeois" au lieu de bonnetier, dans les trois occurrences.
BERTHELEMY oui, c'est aussi ce que je lis.

Bonne fin de week end.
Christophe.
cdemaz
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Bonjour à chacun,

quelques brèves :

[172–25] Le 25 juin 1627. Inventaire après le décès de noble homme maître François TAVERNY, avocat en la cour de Parlement. A la requête de dame Germaine PENILLON/PENILLION (ou PEVILLON), sa veuve, en son nom, et de Arnault TAVERNY, sieur de Marigny, fils et présomptif héritier du défunt. Et en la présence de dame Marie PENILION, veuve de maître Jean GAILLARD/GAILARD, maréchal des logis des garde du Roi. Les biens étant en une maison sise à Paris, faisant l’un des coins de la rue de la Parcheminerie, aboutissant sur la rue Saint-Jacques, où le défunt est décédé.

[172–30] Le 15 juin 1627. Inventaire après le décès de François GILLOT, marchand mercier à Paris. A la requête de honorable femme Marie PATIN, veuve de Didier GILLOT, maître aiguiller à Paris, demeurant rue Quincampoix, habile à se dire héritière du défunt son fils. Les biens étant en la maison où ladite veuve est demeurant, et où sont fils serait décédé.

je réserve les 44 et 74 STP. merci
Christophe.
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