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Aide à l'indexation des inventaires de Me Jean I Charles (1597-1626)

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Inventaires de Jean I Charles - AN ET-XVIII-214 (1608-1610)

[...]
357 B
363 Ch
377 Ch

419 JD
428 JD

443 Ch
446 Ch

451 Ch
473 Ch

506 JD
517 JD


http://www.geneanet.org/registres/view/889291
Inventaires de Jean I Charles - AN ET-XVIII-215 (1611)

2 Ch
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336

Bonsoir JD,

Facteur de marchand, c'est tout à fait correct, et c'est un métier honorable même si il s'agit de trafic de marchandises. :lol:
https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A1F0013-35

Christophe
Ultima modifica di cdemaz il 06 settembre 2022, 20:47, modificato 7 volte in totale.
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Bon week-end très chers lecteurs,

Nous voilà devant l'inventaire d'une personne décédée la veille du Roi Henri IV :

[214–363] Le mercredi 4 août 1610 – Inventaire après le décès de Blanche CHAUDIERE, survenu le 13 mai 1610. A la requête de son mari, honorable homme Nicolas BUON, juré libraire, bourgeois de Paris, demeurant rue du Mont Saint-Hilaire, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Blanche, âgée de 8 ans et demi ou environ, Marie, 7 ans, Nicolas, âgé de 5 ans, Pierre de 3ans ou environ et Gabriel BUON, âgé de 6 mois, leurs enfants mineurs. En la présence de Pierre TOURNIER (ou FOURNIER), bourgeois de Paris, subrogé tuteur.
(vue 373) cote 1 : 1601 – Contrat de mariage entre (Nicolas) BUON et Blanche CHAUDIERE. Guillaume CHAUDIERE, marchand libraire juré à Paris et Gillette HACTE, sa femme, père et mère de la future, promettent 1000 écus. Honorable femme Jeanne RONDEL, mère dudit BUON promet pareille somme.

Heureusement qu'il existe de la littérature pour cette famille, car il est malaisé de lire : RIMET RUVIET RUNIET RINNET RUIVET ou RUMET, qui est finalement la bonne graphie.

[214–377] Le 12 juillet 1610 – Inventaire après le décès de damoiselle Charlotte de LOYNES. A la requête de son mari, noble homme maître Nicolas RUMET, sieur de Rumeville et de Fontaines, avocat en la cour de Parlement, et président au siège des Grands Jours du comté des … de France, demeurant rue Saint-Jean-de-Beauvais, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, tant en son nom que comme tuteur de damoiselle Charlotte RUMET, leur fille mineure et seule héritière de la défunte. Et en la présence de noble homme maître Jacques de LOYNES, conseiller du Roi et substitut du procureur général, subrogé tuteur de la mineure.
(vue 383) les livres.
(vue 397) cote 1 : 1598 – Contrat de mariage entre le sieur du Fresnoy et de Rumeville (Nicolas RUMET) et ladite damoiselle Charlotte de LOYNES. Damoiselle Marguerite FUZÉE, veuve de défunt noble homme maître Jean de LOYNES, mère de la future, promet 10000 livres.
(vue 398) cote 2 : 1598 – acte entre ledit sieur du Fresnoy et damoiselle Marguerite FUZÉE, et avec elle ledit sieur de LOYNES et Jean de LOYNES écuyer sieur de Berceaux, son frère, et ladite damoiselle Charlotte de LOYNES.
(vue 399) cote 6-1 : 1604 - Rachat de rente le sieur de Voisenon et de Gallande et de la Maison rouge, à cause de damoiselle Marie FUZÉE, sa femme.
(vue 400) cote 6-5 : 1595 – Jean FUZÉE, écuyer, sieur de Voisenon (77950), et Guillaume FUZÉE, écuyer, sieur de Gallandre (Gallande, 77550, Réau), frères, rétrocèdent au profit de ladite damoiselle Marguerite FUZÉE, 100 livres de rente faisant partie de 200 livres et des deux tiers de 150 livres, par ledit défunt sieur de LOINES dès l’an 1582 transporté à défunt Robert FUZÉE, écuyer, sieur de Champdeve, leur tuteur, par forme d’échange.
Cote 6-7 : 1598 – Appert ladite damoiselle Charlotte de LOYNES, au refus dudit sieur du Fresnoy son mari, avoir appréhendé la succession de défunte damoiselle Françoise VERSORIS, veuve en deuxièmes et dernières noces de défunt monsieur maître Guillaume de MAULEVAUX, et en premières noces de défunt maître Gentien de LOYNES, conseiller et avocat en la cour de Parlement, son aïeule.
(vue 401) cote 8-1 : 1596 à Abbeville – Appert Hector RUMET, écuyer, sieur de Beaumaray/Beaumarais, bailli d’Abbeville et prévôt du Vimeu, avoir donné audit sieur du Fresnoy ledit fief du Fresnoy (62770) dit des Fourques, tenu du Roi catholique à cause du bailliage de Hesdin (62140). Cote 8-2 : 1599 - Ratification par François RUMET, écuyer sieur de Buscamp et de Beaucauroy, son frère aîné. Cote 8-4 : 1546 – Lettres de relief dudit fief du Fresnoy au profit de défunt Nicolas RUMET, écuyer, sieur de Buscamp et de Beaucauroy, son père.
Cote 9 : Titres du fief prévôtal de Fontaines. Fief de Belleperche dit de Fontaines. Anne RUMET, sœur dudit sieur du Fresnoy.
(vue 410) cote 13 : 1585 – Il est question du traité de mariage de Jacques d’ARTOIS, écuyer, sieur de Brecqueferel, à présent défunt et de damoiselle Anne RUMET, sœur dudit sieur du Fresnoy, stipulant qu’en cas qu’il n’y eut point d’enfant du mariage, elle survivant, que la somme de 100 livres de rente appartiendrait selon l’ordre de succession à ses frère et sœur du second mariage, entre lesquels ledit sieur du Fresnoy est le premier.
(vue 412) 1603 - Quittance des drogues, médecines et obsèques, déboursés pendant l'espace de 5 mois et plus qu'à duré la maladie de la défunte.
(vue 413) cote 15-9 : 1604 – Quittance au sculpteur pour l’épitaphe de ladite damoiselle Charlotte de LOINES. Cote 15-10 : extrait baptistaire de Jacques, Louis, Marguerite et Charlotte RUMET, enfants dudit sieur du Fresnoy et de ladite damoiselle Charlotte de LOINES.
(vue 414) cote 16-1 : 18 décembre 1593 – Testament et codicille de défunt messire Nicolas RUMET, sieur de Buscamp et de Beaucauroy, conseiller du Roi et maître des requêtes. Et Codicille du 20 septembre 1594.
Cote 16-4 : 1595 – Transaction et partage à Abbeville entre François RUMET, sieur de Beaucauroy, Hector RUMET, sieur de Beaumarais, ledit sieur du Fresnoy, Louis RUMET, sieur de la Houssoie, damoiselles Antoinette et Anne RUMET, frères et sœurs, des propres de la succession dudit sieur de Buscamp et de Beaucauroy leur père.
(vue 414) cote 17 : Extraction des alliances et possessions de noblesse des prédécesseurs dudit sieur du Fresnoy depuis l’an 1200 jusqu’à présent, compris les frère et sœurs dudit sieur du Fresnoy et lui.
(vue 415) cote 18 : 1556 – Provision d’office de maître des requêtes au profit dudit sieur de Buscamp, père du sieur du Fresnoy, en récompense des service par lui faits au Roi en l’exercice de lieutenant général de Montreuil sur la mer.
(vue 416) Ledit sieur RUMET déclare que pour éviter le payement des doubles droits seigneuriaux à monsieurs les comtes et comtesse d’Artois à cause du fief du Fresnoy, que ledit sieur de Beaumarais avait donné audit sieur RUMET, qui n’étaient pas les principaux héritiers présomptifs du défunt sieur de Buscamp leur père, auquel il appartenait d’ancien (?) propres, ledit sieur RUMET aurait quitté ledit fief à Antoine RUMET sieur de Buscamp son neveu, moyennant 400 francs, auquel il avait délivré la plus grande partie desdits titres.

Ouf.

A bientôt
Christophe.
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Bonsoir tout le monde :

[214–443] Le 30 mai 1610 – Inventaire après le décès de Louis FLEURY, gagne-denier à Paris. A la requête de Gillette DRAGON, sa veuve, demeurant rue de Versailles, paroisse Saint-Etienne-du-Mont, où est pour enseigne l’Image Saint-Pierre, tant en son nom que comme tutrice naturelle de René, âgé de 7 ans, et Antoinette FLEURY, âgée de 5 ans ou environ, leurs enfants mineurs. Et en la présence de Jean BASTIEN, gagne-denier à Paris, demeurant dite rue de Versailles, accordé par mariage avec ladite veuve.

Je me prénomme Claude ou Nicolas, je me nomme comme mon état, et j'habite au même endroit. Qui suis-je ? Un indice ci-dessous :

[214–446] Le 4 février 1610 – Inventaire après le décès de Marguerite DURANT, fille de défunts Noël DURANT, maître chandelier de suif et de Geneviève HAMELIN, jadis sa femme. A la requête de honorable homme Claude BOUCHER, marchand boucher, bourgeois de Paris, demeurant à la boucherie du Mont-Sainte-Geneviève, au nom et comme exécuteur du testament de la défunte. A la requête aussi de Edmé (Esmé) DURANT, maître chandelier de suif à Paris demeurant rue Saint-Jacques, et Madeleine DURANT, fille âgée de 35 ans ou environ, frère et sœur, habiles à être héritiers d’icelle défunte leur sœur, et encore ledit Edmé DURANT comme père et tuteur naturel de Catherine, Jeanne, François, Marguerite et Robert DURANT, ses enfants, légataires d’icelle défunte Marguerite DURANT leur tante. Les biens étant en une chambre où elle serait décédée, des appartenances d’une maison sise dite Boucherie du Mont-Sainte-Geneviève, où est demeurant Nicolas BOUCHER, aussi marchand boucher, bourgeois de Paris et Marguerite CAPPAN, sa femme.
(vue 449) cote 1 : 1586 – Appert Laurence HAMELIN, veuve de Jean PAULMIER, marchand boucher, avoir vendu à Jeanne HAMELIN, veuve de Charles BOUCHAULDON, joueur d’instruments, sa sœur, 20 écus de rente. Titre nouvel de 1591, par ladite Laurence HAMELIN au profit de Edmé, Marguerite, et Nicolas DURANT, enfants de feu Nicolas DURANT et de Geneviève HAMELIN, jadis sa femme, héritiers pour moitié de feue Jeanne HAMELIN leur tante, de laquelle ladite Laurence HAMELIN était aussi héritière pour l’autre moitié. Ledit Edmé DURANT et Marguerite BELLIER sa femme. 1597 – Titre nouvel Jacques LECOCQ, maçon, et Michelle PAUMIER, sa femme, en leur noms à cause de ladite PAUMIER et encore ledit LECOCQ comme tuteur de Nicole PAULMIER, sœur de ladite Michelle. Lesdites Michelle et Nicole PAULMIER, seules héritières de défunt Jean PAULMIER et de Laurence HAMELIN jadis sa femme, au profit de ladite défunte Marguerite DURANT, fille dudit défunt Noël DURANT et de Geneviève HAMELIN jadis sa femme, héritière pour un tiers en la moitié de défunte Michelle BOUCHER son aïeule, et de défunte Jeanne HAMELIN sa tante, et encore héritière pour moitié de défunt Nicolas DURANT, son frère qui était héritier pour une troisième partie desdits défunts.

Je n'essaye pas de démêler les liens intriqués.

A demain
Christophe.
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cdemaz ha scritto: 03 settembre 2022, 20:37 Je me prénomme Claude ou Nicolas, je me nomme comme mon état, et j'habite au même endroit. Qui suis-je ? Un indice ci-dessous :
Euhh... DURAND ?
Non ? Je brûle ?...
JD
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Ma cote-part :

[214 – 419] 6 juillet 1610 – Rapport de la tutelle pour Louise DUMAITZ, née le 9 septembre 1590, fille de feu noble homme Me Jean DUMAITZ, avocat en parlement, décédé le 7 octobre 1590, et de Marie VERON sa veuve. Furent successivement tuteurs honorable homme Me Prégent VERON, procureur en parlement, son grand-père, puis ladite Marie VERON.

[214 – 428] 18 juin 1610 – Inventaire dressé après le décès, survenu 2 mois auparavant, de feu honorable homme Robert ROCHER, bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Gillette GADEBOYS, en son nom et comme tutrice de Damien ROCHER, fils du défunt et de défunte Jeanne ALLIX jadis sa première femme, et en la présence de Jean COULON / COULLOMP, officier de l’artillerie du Roi, subrogé tuteur.
Les biens étant en une maison assise place Maubert.
(vue 439) cote 1 : 1596 – contrat de mariage entre lesdits Robert ROCHER et Gillette GADEBOYS, tutrice des enfants d’elle et de défunt Christophe PETIT son premier mari.
(vue 440) cote 2 : 1596 – inventaire après le décès de ladite Jeanne ALLIX.
(vue 440) cote 3 : 1596 – inventaire après le décès dudit Christophe PETIT.

Bonne soirée et à bientôt.
JD
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Et mon écot :

[214–451] Le 22 mai 1610 – Inventaire après le décès de maître Ancelme AUZANET, procureur en la cour de Parlement. A la requête de honorable femme Jeanne LEROY, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice et curatrice de maître Barthélemy AUZANET, leur fils mineur, avocat en ladite cour. Et à la requête aussi de maître Esmé DIDIER, pareillement avocat en ladite cour, et dame Marie AUZANET, sa femme, semblablement fille dudit défunt AUZANET et de feue Antoinette VIDET, sa première femme. Et encore en la présence dudit DIDIER comme subrogé tuteur dudit Barthélemy AUZANET. Lesdits Barthélemy et Marie AUZANET, seuls héritiers et pour le tout dudit défunt leur père. Les biens étant en une maison où lesdites parties sont demeurant, et où le défunt serait décédé, sise à Paris, rue de la Bûcherie.
(vue 463) cote 1 : 1588 – Contrat de mariage entre Ancelme AUZANET et Jeanne LEROY.
(vue 464) cote 5 : 1609 – Maître Charles LEROY, procureur au Châtelet de Paris, Elisabeth LEROY, veuve de maître Anne BELON, procureur en Parlement, Sébastien LEROY, bourgeois de Paris, maître César DUVAL, huissier en la cour de Parlement, curateur à la succession vacante de défunte Marie GIROUST, fille de maître Pierre GIROUST et de Catherine LEROY sa femme, Nicolas DROUYN, secrétaire de la chambre du Roi, tant en son nom que comme tuteur de Renée RAGUENEAU, fille de feu maître Jean RAGUENEAU, avocat en Parlement et de damoiselle Catherine DROUYN sa femme, et Marguerite DROUYN, femme de Jean BAUDESSON, commis au greffe dudit Châtelet, avoir vendu audit défunt AUZANET et à ladite LEROY sa femme les parts et portions qui leur appartenaient en une maison sise au village de Viry sur Orge. Lesdits LEROY, frères et sœurs.
(vue 466) cote 16 : 1594 – Isabelle LEROY, veuve de Anne BELON/BLON, tutrice et curatrice de leurs enfants mineurs. Défunt Esmé DIDIER, procureur en Parlement, premier mari de ladite LEROY.

[214–473] Le 30 mars 1610 – Inventaire après le décès de noble homme maître Michel NICOLAS, conseiller du Roi et correcteur en sa chambre des comptes. A la requête de damoiselle Elisabeth (elle signe Isabel) PIGNERON, sa veuve demeurant à Paris, place Maubert, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt. A la requête aussi de damoiselle Anne NICOLAS, veuve de noble homme Claude HABERT, conseiller du Roi et Président au bureau des finances établi à Riom ; honorable homme Nicolas DUPUYS, bourgeois de Paris et dame Marie NICOLAS, sa femme ; noble homme maître Guy DELAVAU, conseiller notaire et secrétaire du Roi maison et couronne de France et damoiselle Jeanne NICOLAS, sa femme. Lesdites damoiselles Anne, Marie, et Jeanne NICOLAS, sœurs et héritières du défunt Michel NICOLAS leur frère.
(vue 475) cote 1 : 1593 – Contrat de mariage entre Michel NICOLAS et Isabelle PIGNERON. Mathurin PIGNERON, bourgeois de Paris, père de la future.
(vue 477) cote 2 : 1594 – Partage entre Charles de MOUSSEAU, conseiller du Roi et général en sa cour des aides et damoiselle Denise PIGNERON sa femme d’une part et ledit maître Michel NICOLAS et ladite damoiselle Isabelle PIGNERON d’autre part, des biens après le décès de dame Jeanne ALLAN, mère desdites demoiselles.
(vue 479) cote 7 : 1596 (?) - Partage entre ledit Michel NICOLAS, damoiselle Anne NICOLAS, damoiselle Marie NICOLAS, tous enfants et héritiers par bénéfice d’inventaire de défunts maitre Jacques NICOLAS et dame Anne du MOUSSEAU jadis sa femme leur père et mère. Guy de LAVAU et Jeanne NICOLAS sa femme aussi fille desdits sieur et dame NICOLAS.
(vue 481) cote 8 : 1595 (?) - Inventaire après les décès de Jacques NICOLAS et de dame Anne du MOUSSEAU.

Je n’insiste pas trop sur les titres : :?
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A plus tard
Christophe.
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Exercice dominical :

[214 – 506] 20 mars 1610 – Inventaire dressé après le décès de défunte Perrette JAMET, à la requête de son veuf Pierre FLEURY, sergent à verge juré priseur de biens au Châtelet, prévôté et vicomté de Paris, demeurant au carrefour Sainte-Geneviève, paroisse Saint-Étienne-du-Mont, en son nom et comme exécuteur testamentaire de la défunte ; à la requête aussi de Pierre DENYSE, marchand fruitier demeurant à la ferme du Chemyn, paroisse d’Orsay et d’Agnès JAMET sa femme, à cause d’elle, cousine germaine et habile à se dire seule héritière de la défunte.

[214 – 517] 4 janvier 1610 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 20 août 1609, de défunte Claude VERROQUIER, à la requête de son veuf Alexandre DE LA COSSE, raccommodeur de bas d’étame et tailleur d’habits demeurant rue du Port-Saint-Bernard, en son nom et comme tuteur de leurs enfants mineurs Jean, Nicolas, Claude, Guillaume, Marguerite et Ysambert LA COSSE, et en la présence de Nicolas SAUSSERON, praticien en court lai à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, héritiers de ladite défunte.

Et bon dimanche à tous.
JD
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Bonjour à chacun,

Changement de liasse :

[215–2] Le 16 décembre 1611 – Inventaire après le décès de Gilles HAYON, lavandier, survenu le 8 décembre 1611. A la requête de Claude DEAN (DOYEN cote 1), sa veuve demeurant ès faubourgs Saint-Victor lès Paris, sur les fossés entre les portes Saint-Victor et la rivière de Seine, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt. A la requête aussi de Marin LELONG, guichetier de la conciergerie du Palais, comme père er légitime tuteur de Martin et Catherine LELONG ses enfants d’avec Catherine BRULIERE (cf. cote 1), légataires universels des biens d’icelui défunt.
(vue 5) cote 1 : Testament du 25 novembre 1611.

[215–7] Le mardi 22 novembre 1611 – Inventaire après le décès de maître Florentin CHANDOUAULT, commis de noble homme maître Christophe Martin, conseiller du Roi, contrôleur général de son écurie, receveur et payeur des rentes assignées sur le Clergé, demeurant à Paris, rue Saint-Jean-de-Beauvais. A la requête de maître Etienne COSSET, praticien au Palais demeurant à Paris, rue des Bernardins, tant en son nom que comme se portant fort de Louise COSSET, sa sœur, émancipés par justice, usants et jouissants de leurs droits, enfants de défunts maître Etienne COSSET, élu à Meaux et de Claude CHAUVELIN sa femme, auparavant veuve de noble homme maître Jean CHANDOUAULT, avocat en Parlement. Et en la présence de maître [blanc] AUVRAY, procureur au Châtelet de Paris, curateur desdits émancipés. A la requête aussi de honorable homme maître Jean SUCHON, procureur en Parlement, en son nom à cause de Madeleine CHANDOUAULT sa femme, Pierre DULAURENS, aussi procureur en ladite cour, à cause de Catherine CHANDOUAULT sa femme, et de maître Esmé MONTREAU (signe MONTEREAU), à cause de Claude CHANDOUAULT sa femme. Tous lesdits Etienne, Louise COSSET, frère et sœur utérin, Madeleine, Catherine et Claude CHANDOUAULT, aussi sœurs, tous habiles à se dire, porter et nommer héritiers du défunt maître Florentin CHANDOUAULT. Les biens étant en la seconde chambre et cabinet étant en la maison dudit sieur Martin.
(vue 10) cote 2 : 1609 – Inventaire après le décès de Claude CHAUVELIN, à la requête dudit maître Florentin CHANDOUAULT.

Avec la signature de Catherine (vues 15 en marge et 16) qui forme sans conteste le N de CHAN, j'ai finalement des doutes sur la fin du patronyme :
CHANDOUAULT/CHANDOVAULT ? Qu'en pensez-vous ?
(voir également le [214-238] ci-dessus).
Merci JD. Compte tenu de la signature, je vais mettre CHANDOUAULT, j'élimine CHANDONAULT. J'élimine également CHANDOVAULT, qui me semble très improbable. C'est d'ailleurs CHANDOUAULT qui rassemble le plus grand nombre sur la SIV.
soffice.bin_xBi93OlKyY.png
A bientôt
Christophe.
Ultima modifica di cdemaz il 05 settembre 2022, 20:54, modificato 2 volte in totale.
bertrandg
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Bonjour,

pour la "reprise", j'en finis déjà avec mon retard sur la liasse précédente.

[214-357] 7 août 1610 - Inventaire après le décès de feu Messire Nicolas de ROMAIN, seigneur de Sauveterre, à la requête de Messire Charles de ROMAIN, chevalier, seigneur de Betz (60620) en Valois, étant de présent à Paris, logé rue des Rosiers, au Croissant, frère et exécuteur testamentaire du défunt. Biens trouvés en une chambre de l'hôtel de Retz près le château du Louvre où le défunt était en cette ville à la suite du Sieur Duc de Retz y compris les hardes qu'il avait avec lui en la ville de Beaupréau (49600) en Anjou en laquelle il faisait sa résidence lors de son décès.
(vue 361) cote 3 : 8 mars 1606 - échange entre ledit Sieur de Betz et ledit défunt Sieur de Sauveterre de biens provenant d'un partage entre eux comme héritiers de leur feu père et mère et acquis de Dame Anne de ROMAIN, leur soeur et de Dame Bonne de ROMAIN aussi leur soeur.
cote 4 : 8 mars 1606 - accord entre lesdits Sr de Betz et Sr de Sauveterre à cause de la succession de défunt Messire Charles de ROMAIN, chevalier, seigneur de Betz et de Sauveterre et de dame Diane de SERNAC leur père et mère et de défunt Henry de ROMAIN, leur frère, et aussi avec dame Bonne de ROMAIN, femme de Messire Jacques d'ANNET, seigneur d'Arains.
(vue 362) cote 6 : 15 mars 1606 - testament de dudit défunt Sieur de Sauveterre.

Bonne journée

Bertrand
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cdemaz ha scritto: 05 settembre 2022, 08:14 CHANDOUAULT/CHANDOVAULT ? Qu'en pensez-vous ?
... ou CHANDONAULT... Impossible de trancher, même en cherchant des familles plus récentes.

À présent :

[215 – 17] 24 novembre 1611 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Me Jean FORME, procureur au Châtelet de Paris, à la requête de sa veuve honorable femme Marguerite FERAULT / FERRAULT, demeurant rue de la Tixeranderie, et en présence de Me Zacharie FORME, aussi procureur audit Châtelet et de Michelle FORME, se disant majeurs de 25 ans, enfants et habiles à se dire héritiers du défunt.
Les biens étant en une partie de l’hôtel de Lamarque que ledit défunt tenait à loyer, et où il est décédé.
(vue 24) cote 1 : 1609 – contrat de mariage entre lesdits Jean FORME et Marguerite FERAULT.

[215 – 25] 10 février 1611 – Inventaire dressé après le décès, survenu le 25 janvier 1610, de feu Antoine JABIN, écuyer sieur de Touville, à la requête de sa veuve dlle Catherine RENAR / REGNART, demeurant rue Perrin-Gasselin, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en son nom et comme tutrice de leur fils mineur Bertrand JABIN, âgé de 4 ans le 1er mars 1611, héritier seul du défunt, en la présence de Mr. Me. Antoine JABIN, sieur de la Couarde, conseiller du Roi en la cour de parlement, cousin et subrogé tuteur dudit mineur.
(vue 35) cote 1 : 1604 – contrat de mariage entre lesdits Antoine JABIN et Catherine REGNARD ; Me Jacques REGNAR, conseiller du Roi en son grand conseil, frère de ladite demoiselle.
(vue 36) cote 2 : 1593 – brevet ; Me Toussaint REPICHON, conseiller, notaire et écuyer du Roi, maison et couronne de France, a élu comme exécutrice testamentaire dlle Jeanne LE BASCHELLIER sa femme, qui fut ultérieurement femme dudit (JABIN) sieur de Touville.
(vue 37) cote 5 : 1594 – contrat de mariage entre lesdits Antoine JABIN, sieur de Touville, et Jeanne LE BASCHELLIER.
(vue 38) cote 8 : 1600 – testament de ladite défunte Jeanne LE BACHELLIER ; Marie LEROY sa nièce.
(vue 39) cote 11 :1606 – quittance donnée audit sieur de Touville par Me Jean HUBERT, avocat en parlement à cause de ladite dame Marie LEROY sa femme, et Jérôme LEROY, secrétaire de Monsr. le prince de Condé, lesdits LEROY héritiers de défunts Me Jérôme LEROY leur père.
(vue 51) cote 69 : 1595 – quittance donnée à Orléans pour un amortissement d’une rente vendue par ledit défunt Antoine JABIN à Charles JABIN son frère, écuyer sieur de Luciennes en 1578.
(vue 52) cote 72 : 1605 – quittance donnée à Orléans ; Claude FRETARD, écuyer sieur de Mondésir, et dlle Claude JABIN sa femme, se faisant fort dudit défunt Antoine JABIN son oncle.
(vue 52) cote 73 : 1601 – quittance relative à une rente constituée à Jean JABIN, sieur des Bordes, par ledit défunt Antoine JABIN son frère.
(vue 54) cote 85 : 1596 – vente par ledit Jean JABIN, sieur des Bordes, comme tuteur des enfants de lui et de feue dlle Jeanne GODEFFROY sa femme.
(vue 59) 1611 – Lettres de tuition pour ledit mineur Bertrand JABIN, en présence desdits Catherine RENAR, mère, Antoine JABIN, cousin paternel, procureur de noble homme Me Philippe JABIN, conseiller du Roi et provincial à Limoges, cousin paternel, de noble homme Me Antoine DE MURAT, conseiller du Roi en sa cour de parlement et commis ès requêtes du Palais, cousin paternel à cause de dlle Denise JABIN sa femme, de noble homme Me Zacharie DE PRESLE, contrôleur de l’artillerie de France, sieur de Sommery, cousin paternel, noble homme Me Nicolas DU GUIET (?), conseiller du Roi et correcteur en sa chambre des comptes, cousin paternel, noble homme Me Julien GIROUST, avocat en la cour de parlement, cousin paternel, Mr. Me. Jacques RENAR, conseiller du Roi et maître des requêtes ordinaire de son hôtel, oncle maternel, noble homme Me Jacques RENAR, avocat en parlement, oncle maternel, noble Mr. Me. Michel CHARPENTIER, avocat en parlement, cousin maternel, et noble homme Me Jean PAILLET, avocat en ladite cour, cousin issu de germain maternel à cause de sa femme.

Bonne journée à tous.
JD
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Bonjour à tous,

en voici d'autres :

[215–62] Le mardi 22 novembre 1611 – Inventaire après le décès de maître François COTTIGNON/COTIGNON, receveur du Grand Prieuré de France, bourgeois de Paris. A la requête de honorable femme Claude BOUTENOTTE, sa veuve. Pareillement à la requête de vénérable et discrète personne maître Michel COTTIGNON, prêtre chanoine en l’église de Nevers, tant en son nom que comme héritier quant aux propres dudit défunt son frère, que comme se disant procureur de dame Marie FOURNIER, sa mère, seule héritière quant aux meubles acquêts et conquêts du défunt son fils. Les biens étant en la maison où il serait décédé, en laquelle sa veuve est demeurant, sise place Maubert.
(vue 73) 29 novembre 1611 – En la présence dudit maître Michel COTIGNON, en son nom et comme se faisant fort de maître Jacques de VILLERS, marchand à Nevers, Perrette COTIGNON, sa femme, maître Gilbert BRETON, notaire et procureur en la ville de Decize (58300), au nom et comme tuteur des enfants mineurs de lui et de feue Anne COTIGNON, jadis sa femme, et maître Jean JARRE, notaire royal et secrétaire en la chambre des comptes de Nevers et Marguerite COTIGNON, sa femme. Lesdits Michel, Perrette, Marguerite COTIGNON, et mineurs par représentation de leur mère, héritiers quant aux propres dudit défunt François COTIGNON, et encore ledit Michel COTIGNON se disant seul héritier de Marie FOURNIER à présent défunte, au moyen des renonciations faites par sesdits frère et sœurs à son profit, par leurs contrats de mariage.
(vue 76) cote 1 : 1600 – Contrat de mariage entre François COTIGNON et Claude BOUTTENOTTE, alors veuve de maître Michel BELLAMY.
(vue 120) 4 janvier 1612 – Ladite Anne COTIGNON, à présent défunte, sœur dudit défunt François COTIGNON. Défunte Marie FOURNIER, veuve de honorable homme maître François COTIGNON.
(vue 135-136) Les livres. (vue 136-137) Vaisselle d’argent.
(vue 137) cote 1 : 1606 – Inventaire après le décès de Françoise BENOIST, jadis sa femme un premières noces, à la requête dudit Vincent BAUDOUYN.
Cote 2 : 1606 – Contrat de mariage entre Vincent BAUDOUYN et Denise PASQUIER, fille de feu Christophe PASQUIER et de Jacquette ESGLAULT, jadis sa femme. Raymond DALLEMAIGNE, maître orfèvre à Paris et ladite Jacquette ESGLAULT alors sa femme promettent 1200 livres.
(vue 138) cote 3 : 1606 – Julius DOYÉ, maître paumier faiseur d’esteufs à Paris, et Jeanne DELESTRE sa femme, Marin BREART, maître barbier chirurgien à Paris et Antoinette DELESTRE sa femme, nièces et héritières chacune pour un tiers de ladite défunte Françoise BENOIST leur tante femme dudit BAUDOUYN, et auparavant veuve de feu Benoît BIGORNE, vendent audit BAUDOUYN tous les droits successifs etc (maison rue Gallande, où est pour enseigne la Gallée d’or).
(vue 139) cote 4 : 1606 – Jacques DELAISTRE, marchand bourgeois de Paris et Marie SANIFRAY sa femme, héritier pour un tiers de ladite Françoise BENOIST sa tante, etc.
(vue 141) cote 7 : 1582 à Rouen – Ledit Vincent BAUDOUYN avoir vendu à Jacques BAUDOUYN, écuyer, son frère, tous les droits de la succession de défunt Jean BAUDOUYN leur père.
Cote 8 : 1602 – Jacques BAUDOUYN demeurant à Rouen, oncle dudit Vincent BAUDOUYN lui doit 480 livres tournois.
(vue 145) cote 37 : 1609 – Ledit Vincent BAUDOUYN cède à Marguerite BAUDOUYN sa fille naturelle la somme de 100 livres tournois.
(vue 146) cote 41 : 1609 – Contrat de mariage entre Simon PICQUET, marchand boucher et Louise DELABALLE (ou DELAVALLÉ), par lequel ledit BAUDOUYN donne 120 livres tournois légués à ladite DELAVALLE par défunte Françoise BENOIST par son testament.

A plus tard
Christophe.
bertrandg
male
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Bonjour,

Inventaire d'un couple...

[215-180] 3 octobre 1611 - Inventaire après le décès de défunts noble homme Maître Barthélémy PERDULCIS, docteur régent en la faculté de médecine de l'université de Paris et de défunte Dame Catherine CARDON, au jour de son décès veuve dudit défunt. A la requête de nobles hommes maîtres Pierre de MONTCHAL et François de SAUZEA, avocats en la cour de parlement demeurant à Paris, rue et paroisse Saint-André des Arts, exécuteurs du testament dudit défunt. En la présence de honorables hommes Nicolas BOUQUIER, bourgeois de Paris, demeurant rue Comtesse d'Artois à son nom et se faisant fort pour demoiselle Marie BOUQUIER, sa soeur, veuve de feu Charles LE PELLETIER, sieur de Château Poissy, Marie DELACOURT, veuve de feu Pierre CRETEL, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Nicolas des Champs, Constantin DELACOURT, maréchal des logis de la maison de Monseigneur le prince de Condé, demeurant Le Plessis Chenet (91830), près Corbeil, Guillaume DUBOYS, bourgeois de Paris, demeurant rue Bourtibourg, paroisse Saint-Paul, au nom et se faisant fort de noble homme Maître Charles DUBOYS, conseiller et élu pour le Roi de l'élection de Dreux, son père, tous les dessus dits habiles à se porte héritier de la défunte. En la présence de Maître Germain Gouffe, avocat en la cour de parlement, stipulant pour Pierre et Claude FORESTS, frère et soeur, neveu et nièce et héritiers testamentaires dudit défunt, enfants de feu Mathieu FORESTS, bourgeois de Boulieu en Vivarais (Boulieu-lès-Annonay, 07100) et de Claude PERDULCIS sa femme. En la présence aussi en la présence de honnête homme Nicolas DISSIER, bourgeois de Paris, demeurant rue de Bièvre, père et tuteur de Catherine DISSIER, sa fille et de Marguerite PERDULCIS, sa femme, donataire universelle par donation faite entre vif de tous les biens de ladite défunte.
(vue 196) cote 1 : 15 février 1568 - contrat de mariage entre lesdits défunts Barthélémy PERDULCIS et ladite Catherine CARDON sa femme et stipulant pour elle par défunts Maître André PERDULCIS, docteur en médecin en l'université et Sébastienne OUVRARD, sa femme, tante de ladite défunte CARDON. Enregistré au 24ème volume des insinuations du châtelet.
cote 2 : 26 novembre 1567 - donation par défunts Maître André PERDULCIS et Sébastienne OUVRARD sa femme audit défunt Maître Barthélémy PERDULCIS, son neveu. En bout est un codicille écrit portant ratification du testament dudit André PERDULCIS du 22 février 1568. Plus testament de ladite défunte Sébastienne OUVRARD du 18 juin 1580.
(vue 201) cote 17 : 14 août 1611 - missive sous écrite vôtre entièrement affectionné et meilleur oncle et ami signée MONTCHAL adressante à Monsieur de SAUZEA, conseiller du Roi et lieutenant de monsieur le juge de Vivarais à Annonay, par laquelle ledit Sr MONTCHAL prie ledit Sr SAUZEA payer la somme de 300 livres à la veuve de feu Maître Jean PERDILCIS, bourgeois de Boulieu, somme que ledit Sr MONTCHAL avait reçu comptant dudit défunt Maître Barthélémy PERDULCIS, frère dudit défunt Jean PERDULCIS.
(vue 204) cote 30 : 13 février 1537 - contrat de mariage de Augustin CARDON marchand drapier et Jeanne OUVRARD, fille mineure de feu Alliot OUVRARD, marchand demeurant à Angers et de Catherine LAMOUREULX, jadis sa femme. Auquel est attaché un transport du 8 août 1550 par ladite Jeanne OUVRARD, lors veuve dudit Augustin CARDON à son nom et comme tutrice de leurs enfants mineurs et ayant droit de Pierre CARDON à Sébastienne OUVRARD, veuve de feu Mathurin LE VOYER.
(vue 206) cote 37 : 18 novembre 1595 - contrat de mariage entre Nicolas DISSIER et Marguerite PERDULCIS, fille de Maitre Etienne PERDULCIS et de Marguerite BLANCHIN contenant donation par lesdits défunts Maître Barthélémy PERDULCIS et sa femme.
(vue 207) cote 43 : 8 juin 1568 - inventaire après le décès dudit défunt Maître André PERDULCIS à la requête de ladite Sébastienne OUVRARD sa femme et aussi à la requête dudit défunt Maître Barthélémy PERDULCIS, neveu du défunt et de Dame Catherine CRADON, sa femme, nièce de ladite OUVRARD.
cote 45 : 24 novembre 1555 - contrat de mariage de défunt Maître André PERDULCIS et Sébastienne OUVRARD.
(vue 209) les livres du défunt.
(vue 217) cote 54 : 17 mai 1532 - procuration par Jeanne OUVRARD fille de feu Allyot OUVRARD, vivant demeurant à Angers.

Bon, c'est déjà pas mal pour cet IAD !
Boulieu-lès-Annonay, c'est dans mon secteur ça : j'ai jeté un oeil sur geneanet et on retrouve plusieurs actes concernant ce Barthélémy PERDULCIS, mais indexés à des lieux farfelus "en vivarais" (Bouillée, Bouillac...), à rectifier éventuellement si quelqu'un à la main sur ces indexations.

Bonne journée.

Bertrand
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bertrandg ha scritto: 06 settembre 2022, 14:16 Boulieu-lès-Annonay, c'est dans mon secteur ça : j'ai jeté un oeil sur geneanet et on retrouve plusieurs actes concernant ce Barthélémy PERDULCIS, mais indexés à des lieux farfelus "en vivarais" (Bouillée, Bouillac...), à rectifier éventuellement si quelqu'un à la main sur ces indexations.
Bonsoir Bertrand,

c'est peine perdue pour corriger ces indexations, il s'agit d'extraits d'ouvrages numérisés. En l'occurrence du Dictionnaire universel, historique, critique, et bibliographique
Auteur : Louis Mayeul Chaudon.

A noter que ce Barthélemy PARDOUX ou Perdulcis, docteur en médecine, se trouve juste avant Ambroise PARÉ dans ce dictionnaire. Excusez du peu !
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Christophe.
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cdemaz ha scritto: 05 settembre 2022, 08:14 Compte tenu de la signature, je vais mettre CHANDOUAULT, j'élimine CHANDONAULT. J'élimine également CHANDOVAULT, qui me semble très improbable. C'est d'ailleurs CHANDOUAULT qui rassemble le plus grand nombre sur la SIV.[/color]
OK, Christophe, je vais me mettre à ton diapason, pour l'autre acte.
JD
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jdp1 ha scritto: 06 settembre 2022, 21:37
cdemaz ha scritto: 05 settembre 2022, 08:14 Compte tenu de la signature, je vais mettre CHANDOUAULT, j'élimine CHANDONAULT. J'élimine également CHANDOVAULT, qui me semble très improbable. C'est d'ailleurs CHANDOUAULT qui rassemble le plus grand nombre sur la SIV.[/color]
OK, Christophe, je vais me mettre à ton diapason, pour l'autre acte.
Merci JD c'est effectivement cohérent.

Bonjour à tous et toutes voici mes lectures :

[215–219] Le vendredi 9 septembre 1611 – Inventaire après le décès survenu le 1er septembre 1611, de Hubert CHESNEAU, maître tailleur d’habits ès faubourgs Saint-Victor lès Paris. A la requête de Perrette MIRE, sa veuve, au nom et comme tutrice du posthume dudit défunt et d’elle. A la requête aussi de Antoine BUTTIN, praticien demeurant à Montigny-Lencoup (77520), oncle et tuteur de Madeleine, âgée de 4 ans, et Hugues CHESNEAU, âgé de 21 ans ou environ, enfants mineurs dudit défunt Hubert CHESNEAU et de défunte Marguerite BUTTIN leur père et mère. Et en la présence de Claude MENART, marchand demeurant à présent èsdits faubourgs Saint-Victor en la Grande rue, subrogé tuteur desdits mineurs. Et aussi en la présence de François MOREAU, maître taillandier à Paris, demeurant èsdits faubourgs, subrogé tuteur dudit posthume. Les biens étant en la maison où le défunt serait décédé, sise Grande rue desdits faulbourgs.
(vue 226) Ladite veuve déclare que Nicole LE MOUSLES, cousine du défunt à emporté une couchette à bas piliers, un lit et traversin avec un pavillon, qui étaient dans l’inventaire après le décès de Marguerite BUTAIN.
(vue 227) cote 1 : 1603 à Montigny-Lencoup – Fiacre PARGUIER, curateur à la succession vacante de défunt Jean BUTTIN, cède à Marguerite BUTIN, première femme dudit CHESNEAU 7 livres de rente.
Cote 4 : 1611 – Inventaire après le décès de Marguerite BUTTIN, à la requête dudit Hubert CHESNEAU, comme tuteur desdits Madeleine et Hugues CHESNEAU.

[215–229] Le 11 août 1611 – Inventaire après le décès de honorables personnes Guillaume LE JUGE, bourgeois de Paris, veuf de Françoise BOUCHER, jadis sa femme. A la requête de honorables personnes Jean LE JUGE, marchand boucher, bourgeois de Paris, en son nom, Guillaume LE JUGE l’aîné, marchand demeurant à Lyon, aussi en son nom, Guillaume LE JUGE le jeune, aussi marchand boucher, Jacques LE JUGE, pareillement marchand boucher en leurs noms, Robert BORDIER, marchand maître chandelier de suif, bourgeois de Paris et Girarde LE JUGE sa femme, en leurs noms à cause d’elle, et Catherine LE JUGE, veuve de Daniel PINSSON, aussi marchand boucher, bourgeois de Paris en son nom. Tous lesdits Jean, Guillaume l’aîné, Guillaume le jeune, Jacques, Girarde et Catherine LE JUGE, frères et sœurs, enfants et héritiers des défunts. Les biens étant en une chambre au premier étage sur le derrière d’une maison sise à Paris, aux boucheries du Mont-Sainte-Geneviève, où est pour enseigne le Paon, en laquelle le défunt serait décédé le 13 juillet 1611.
(vue 230) cote 1 : 1585 – Inventaire après le décès de Françoise BOUCHER, à la requête de son mari, ledit Guillaume LE JUGE l’aîné (père), tant en son nom que comme tuteur et curateur de leurs enfants mineurs.
Cote 2 : 1586 – Contrat de mariage entre ledit Jean LE JUGE et Geneviève PINSON. Jean PINSON et sa femme, père et mère de ladite PINSON donnent 800 écus sol. Guillaume LE JUGE, père du futur, donne 600 écus sol.
(vue 231) cote 4 : 1604 – Contrat de mariage entre Guillaume LE JUGE le jeune et Marie DELASSUS.
Cote 5 : 1601 – Contrat de mariage entre Jacques LE JUGE et Anne RICHETTE.
Cote 6 : 1585 – Contrat de mariage entre Robert BORDIER et Girarde LE JUGE. Guillaume LE JUGE, père de la future donne 600 écus.
Cote 7 : 1597 – Contrat de mariage entre Daniel PINSON et Catherine LE JUGE. Ledit Guillaume LE JUGE père de la future donne 400 écus.
Cote 8 : 1590 – Contrat de mariage entre défunt Pierre CUVILLIER, maître pâtissier à Paris et défunte Marie LE JUGE, qui était fille dudit Guillaume LE JUGE, qui a donné 600 écus.
(vue 232) cote 9 : 1 – Partage des héritages et succession de feu Etienne LE MAIRE, aïeul maternel de Françoise BOUCHER, femme de Guillaume LE JUGE, entre feus Guillaume BOUCHER et Laurence LE MAIRE, père et mère de ladite Françoise BOUCHER.
(vue 233) cote 13 : 1577 – Contrat entre Simon LE JUGE et ledit Guillaume LE JUGE son frère. (Maison du Paon à la boucherie Sainte-Geneviève, autre maison sise rue Judas, où soulait pendre pour enseigne le Cheval rouge, autre maison sise rue Judas, en laquelle pend pour enseigne le Pied de Biche.
(vue 235) cote 16 : 1595 – Echange cession transport entre ledit Guillaume LE JUGE en son nom à cause de la communauté qu’il avait eu avec Anne BROUTESAUGE jadis sa femme, auparavant veuve de Guillaume BOUCHER l’aîné d’une part, et Gilles BOUCHER, tant en son nom que comme tuteur de Etienne BOUCHER son frère, Gilles DUCHAUFOUR et Marguerite BOUCHER sa femme, Guy CELOT et Denise BOUCHER sa femme. Lesdits BOUCHER, frères et sœurs enfants et héritiers de ladite défunte BROUTESAUGE leur mère.
Cote 18 : 1608 – Donations par ledit Guillaume LE JUGE, qui donne à frère Robert LE JUGE, son fils religieux profès au couvent des Carmes de Paris, 25 livres tournois de rente annuelle, sa vie durant.

A bientôt
Christophe.
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