J'en reviens à Abraham et Ibrahim
c'est la parfaite illustration des variations d'orthographe et de prononciation
que vous refusez de comprendre tout au long des fils que vous ouvrez.
J'en reviens à Abraham et Ibrahim
Bonne question !
A nouveau, quelles preuves de cette union apportez vous ?sylvana75 ha scritto: ↑05 febbraio 2021, 21:43 Aucune preuve d'actes turques avant 1591,mais en 1800.Par contre une certaine GURBESSU NAMIAN fille d'un certain Tayang Namian était la seconde femme de Gengis KHAN en Mongolie mais il s'agit peut être d'un nom mal traduit car l'alphabet Asiatique est dur à déchiffrer et à traduire.
Il s'agit peut être dans ce cas d'un nom de lieu d'une ville asiatique du nom de NAMYANG. Donc cela n'aurait rien à voir ni avec la Turquie, ni avec le Rhône.
Ce n'est pas parce que vous n'avez jamais vu NAIME ou NAMYsylvana75 ha scritto: ↑06 febbraio 2021, 09:18 Oui mais NAIME ce n'est pas pareil. A aucun moment je n'ai vu NAIME ni même NAMY ou NAMI à la place de NAMIAND ou NAMIAN.
En réalité personne ne connait exactement l'étymologie du nom NAMIAN ou NAMIAND. Et Jean TOSTI n'a émis que des hypothèses d'après la phonétique du nom.
Un lieu dit s'appelle le NAMIER dans le Rhône et là non plus on ne sait pas ce que cela veut dire.
Bonjour,sylvana75 ha scritto: ↑06 febbraio 2021, 09:43 J'ai regardé les documents concernant les gens qui s'appellent NAIME ils ne vivaient pas au même endroit et ne semblent pas avoir de liens de parenté avec les NAMIAND ou NAMIAN. De plus NAIME ne ressemble pas phonétiquement à NAMIAN. Il n'y a donc aucune chance de confondre les deux patronymes.
Quand à NAMY LA FOREST je ne trouve pas le rapport avec la famille NAMIAND. Quand aux autres familles NAMY ou NAMI elles étaient toutes soit dans l'Allier, soit dans la NIEVRE. Il n'y a aucune raison d'écrire NAMIAND ou NAMIAN à la place de NAMY dans les registres paroissiaux.
Il faudrait que l'ajout du suffixe AN ou AND résulte d'un acte volontaire de la part de quelqu'un voulant transformer volontairement son nom pour se déclarer à l'état civil, en l'occurrence dans les registres paroissiaux.