Bonjour à tous,
Le chef fait grève ?
Voici ma contribution :
[164–1] Le vendredi 11 février 1628 – Inventaire après le décès de haut et puissant seigneur maître François de SILLY, chevalier des ordres du Roi, conseiller de sa Majesté en ses conseils d’état et privé, capitaine des cent hommes d’armes de ses ordonnances, grand louvetier et pair de France, duc de la Roche-Guyon, baron d’Acquigny et Crevecoeur, damoiseau de Commercy, seigneur souverain d’Enville (Esneval ?) et autres lieux. A la requête de haute et puissante dame dame Catherine de MATHIGNON (de MATIGNON), sa veuve, au nom et comme créancière du défunt et ayant renoncé à la communauté. Et en la présence de maître Pierre HARDY, procureur au Châtelet de Paris, comme procureur de haute et puissante dame dame Antoinette de PONS, marquise de Guercheville, dame d’honneur de la Reine mère du Roi, veuve de défunt haut et puissant seigneur maître Charles du PLESSIS, chevalier des ordres du Roi, conseiller du Roi en ses conseils et en sa cour de Parlement, son premier écuyer, gouverneur des ville, prévôté et vicomté de Paris, chevalier d’honneur de la dite Reine mère, seigneur de Liancourt, baron de Gallardon de Montfort et Montlouis, comte de Beaumont-sur-Oise, auparavant veuve de haut et puissant seigneur messire Henri de SILLY, aussi chevalier des ordres du Roi, conseiller en sesdits conseils d’état et privé, capitaine de cent hommes d’armes de sesdites ordonnances, comte dudit lieu de la Roche-Guyon, aussi baron d’Acquigny et Crevecoeur, damoiseau dudit Commercy et seigneur souverain dudit Euville ( ?). Ledit Pierre HARDY, assisté de noble homme Pierre CHIFFLET, sieur de Sainte-Verte, secrétaire et ayant charge des affaires de ladite dame marquise, habile à se dire et porter héritière sous bénéfice d’inventaire du défunt seigneur duc de la Roche-Guyon, fils du défunt seigneur comte de la Roche-Guyon et de ladite dame marquise de Guercheville, créancière dudit défunt son fils, et douairière d’icelui défunt comte de la Roche-Guyon son premier mari. Et aussi en la présence de Louis de MELLIN, écuyer, sieur de Franclieu, au nom et comme procureur de haute et puissante dame dame Madeleine de SILLY, comtesse de la Rochepot, damoiselle de Commercy, dame souveraine d’Euville, et dame d’atours de la Reine, épouse et tant en son nom que comme procuratrice générale de haut et puissant seigneur maître Charles d’ANGENNES, chevalier seigneur de Faris, conseiller du Roi en sedits conseils, et ambassadeur ordinaire pour sa Majesté en Espagne, ladite dame de Fargis, aussi habile à se dire et porter héritière par bénéfice d’inventaire dudit défunt seigneur duc de la Roche-Guyon son cousin paternel, et encore ledit sieur de MELLIN, comme secrétaire et ayant charge de messieurs Pierre de GONDY, général des galères de France, ensemble maître Philippe Emmanuel de GONDY de l’oratoire de Jésus, ayant la garde noble de maître François Paul de GONDY son fils, abbé de Buzay et de Quimperlay. Lesdits sieurs Pierre et François de GONDY, aussi habiles à se dire héritiers du défunt leur cousin, et aussi en la présence de messire Michel MOREAU, conseiller du Roi en sesdits conseils d’état et privé, lieutenant civil desdites ville, prévôté et vicomté de Paris, comme aussi en la présence de monsieur maître Claude GOBELIN, conseiller du Roi et son procureur audit Châtelet. Les biens étant en l’hôtel où il était logé en cette ville de Paris, rue du Coq Héron, que en sa maison de Saint-Germain-en-Laye et autres lieux.
Les papiers sont à partir de la vue 21 (pour ceux qui veulent).
[164–38] Le lundi 8 janvier 1629 – Inventaire après le décès de honorable homme Nicolas BRILLET, marchand (d’épées ? drapier ? vue 50), bourgeois de Paris, advenu le 10 décembre 1628. A la requête de Bonaventure BRILLET, Louis CORVILLER, de Pierre OUDIN, Jean CAVELLIER et Mathurin DUPUIS, tous marchands bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteur du testament du défunt, leur père et […] tous habiles à se dire porter et nommer [héritiers] dudit défunt à cause de leurs femmes, et pareillement ledit CORVILLIER au nom et comme curateur créé par justice aux droits et actions de Nicolas BRILLET, fils dudit défunt, pour son imbécillité d’esprit, qui est aussi habile à se dire et nommer héritier du défunt son père. Les biens étant tant en cette ville de Paris, où le défunt est décédé, en la maison sise rue de la Barillerie, où est pour enseigne
la Flandre ( ?), qu’en une maison sise au village de Nanterre.
Vue 44, cote 1 : 1586 – Contrat de mariage entre ledit défunt Nicolas BRILLET et Catherine CAZIN.
Vue 44, cote 2 : 1613 – Contrat de mariage Louis CORVILLIER x Anne BRILLET, fille desdits défunts.
Vue 44, cote 3 : 1613 – Contrat de mariage Barthélemy POIRIER, marchand bourgeois de Paris et Marie BRILLET, fille du défunt.
Vue 44, cote 4 : 1618 – Contrat de mariage Jean CAVELLIER x Madeleine BRILLET, fille du défunt.
Vue 45, cote 5 : 1624 – Contrat de mariage Guillaume CHAULDIERE x Adrienne BRILLET, fille du défunt.
A plus tard.
Christophe.